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Interventions prise d'otage
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Je vous prépare donc un Ingen 2.0 MOUHAHAHAHAHA
Ven 9 Nov - 10:05
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Tu veux de l'aide ? Parce que tu vas pas tout faire non plus xD tu en fais déjà beaucoup ! ^^
Ven 9 Nov - 10:10
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Bah en fait je reprend juste une idée que j'avais de pv quand on devait des refaire ici :5: En l'adaptant un peu plus xD Codex Corp Societe Russe dirigé par 2 entreprises : une Pharmaceutique et une dans la Biosecurite. C'est de cette derrière que j'avais pensé faire le pv d'un Investisseur pas le PDG de Codex Corporation est inconnu.
Ven 9 Nov - 10:31
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Coucou !

Je trouve que c'est une superbe idée, et je pense que ça va amener un peu de "fraîcheur" au forum que d'avoir deux "factions" opposées en plus des Dinos à gérer. Et puis, ça nous permettra de manipuler ces méchants selon nos souhaits sans faire d'incohérence par rapport aux films ou d'oublier des éléments qui auraient pu en découler. Wink
Ven 9 Nov - 12:30
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PRISE D'OTAGE




Tous s'étaient exécutés sous les ordres du Régisseur : Nicholls s'était avancé vers la petite blonde et son protecteur attitré et avait docilement balayé l'espace de ses poings pour atteindre sa cible. De l'autre côté du cercle, Powell avait finalement été mise à terre après avoir réquisitionné deux des gardes pour l'occasion. C'est qu'elle avait le cuir dur celle-là, mais il était plaisant de la voir finalement se courber sous l'autorité. Grande gueule, petits bras.  

Les opposants avaient été répartis par paires, pour faciliter la gestion de leurs caprices. Il faut dire que certaines ne s'étaient pas relevés. Peut-être ne le feront-ils jamais. Mais pour l'heure, il fallait avorter leurs potentielles tentatives. En parlant d'avortement, voilà que c'était la fille Masrani qui criait à la mort. Elle avait finalement craché le morceau et le chef s'était empressé de transmettre ces nouvelles informations à ses coéquipiers au-dehors. Un sourire mauvais étira les lèvres du Régisseur qui se pencha vers elle :

"Tu n'as pas perdu de temps avec Blake, il fait bon vivre sur Isla Nublar on dirait. Dommage qu'il se sente si peu concerné par la chose... Mais tu devrais plutôt me remercier et voir le bon côté des choses : Une troisième génération de Masrani vient d'être enrayée avant de perpétuer la bêtise familiale. Réjouissons-nous !" déclara-t-il avant de gratifier Masrani d'un dernier coup de pieds dans les côtes pour la faire chouiner davantage sur son futur enfant défunt.
Sur cette île, ils avaient décidément tous un problème avec la parentalité. Il n'y avait que Dockery qui ne la ramenait pas mais peut-être était-ce simplement parce qu'il manquait de courage face à ses homonymes féminines ? Ou alors que Nicholls avait cogné un peu fort sur sa caboche...

Ils n'avaient que peu de temps, car le signal qui avait percé précédemment continuait de se préciser à chaque minute. L'affaire était rondement menée, puisqu'ils avaient maintenant le code, aimablement transmis par la pétasse en cloque. D'ailleurs, le présumé père venait de se réveiller et restait sous le joug attentif de son garde.
Tandis que Nicholls cognait toujours, la petite voix de la blondasse se fit entendre. Celle qui se prénommait Mora venait de subtiliser l'arme de son tortionnaire et se retournait désormais vers le Régisseur lui-même. Il n'en fallu pas d'avantage pour que la vieille et ses acolyte se mettent en action, profitant de la faille pour tenter de redorer leurs blasons. Powell vint se placer contre Mora en tentant un chantage foireux tandis que Papounet enfonçait le fusil volé à son garde dans la bouche de celui-ci et que celle qui s'était revendiquée comme scrofuleuse craque et tire sur son ange-gardien personnel.

Putain les enfoirés ! Ils s'étaient ligués ensemble, usant de ruses diverses et variées pour parvenir à leurs fins. Aussitôt, les neuf hommes encore armés braquèrent leurs armes sur les employés restants. Fort heureusement, le Régisseur et son équipe conservaient leur supériorité numérique mais les récents évènement montraient que rien n'était jamais gagné d'avance. Aussi, ce dernier prit la parole en levant légèrement l'arme en signe de possible reddition :

"Vraiment ? Et que dirais-tu de voir le sang de ton chef couler ?" A l'appel du petit signe de tête qu'il lançait, son acolyte qui était alors en charge d'Adam Andrew et qui faisait face à Powell, tira pour l'atteindre quelque part sous le diaphragme. Profitant de l'effondrement de celle-ci, le Régisseur donna un coup de pied sur l'arme qui était tendue vers lui et assomma la petite policière bien trop bavarde d'une estocade suffisante pour la faire chanceler.
Les deux gardes jusqu'alors postés à la sortie de secours, obligatoire pour que le bâtiment reste aux normes, se ruèrent sur Blake pour le dissuader de tenter une contre-attaque envers le patron. Une autre balle surgit alors, venait-elle de la pestiférée qui avait castré l'un des hommes ? Pour toute réponse, celle-ci vit une balle la frôler et ce tir manqué fut suffisant pour la faire hésiter.

Les autres gardes assignés à Nicholls et Dockery ne furent pas en reste et sortirent de leur contemplation : à deux ils tentèrent de mettre le géant au sol et ceci fait, le canon d'un fusil se posa entre ses omoplates. Le plus petit des deux truand laissa échapper un rire et pour se sentir utile, s'amusa un instant à tourmenter le vétérinaire déjà bien amoché avant de lui décocher une balle dans le deltoïde, pour participer à la débandade générale.

"Amenez Ayoun par ici." exigea le chef. Et son ordre trouva écho.
La vétérinaire se retrouva, les mains sur la tête aux côté de Masrani toujours menacée. Après un nouveau signe de tête vers son acolyte qui s'occupait de Nicholls, ce dernier lui lança l'arme blanche qu'il lui avait confisqué et le Régisseur l'attrapa au vol. Une belle trouvaille dont Masrani et Ayoun se souviendraient longtemps. "Finalement Nicholls, t'auras été utile. Beau joujou que tu avais là." Il s'approcha de l'ex mannequin en culotte et la força à se mettre au sol, devant son employée que l'on forçait à regarder. "Tu parlais d'empreinte digitale Masrani ? Tu as bien fait de mettre le doigt sur ce détail. J'apprécie ta prévenance."
Alors, un sourire goguenard aux lèvres, il s’abaissa et coinça le poignet de la Belle sous sa chaussure pour l'empêcher de bouger. D'un geste vif il lui scinda l'index, s'emparant ainsi du Graal qui lui permettrait d'accéder à la base de données. Elle s'était débattue la riche héritière, mais sans son escorte Deluxe, ses ongles manucurés et ses cris stridents ne valaient pas un clou. "Allons, cesse de dramatiser : il t'en reste tout de même neuf autres en parfait état de marche. T'as plus qu'à remercier Nicholls de prendre autant soin de ses affaires." cria-t-il pour couvrir les hurlements de douleur.

Il se releva et enjamba Powell en lui disant : "Merci pour ton offre, mais j'ai tout ce qu'il me faut niveau garantie."
Alors, il traversa la salle jusqu'à en sortir et ses sbires prirent le même chemin en tirant dans les murs et dans le plafond pour se couvrir jusqu'à ce qu'ils aient totalement quitté les lieux.







SITUATION DES PERSONNAGES


  • Le coup de feu de Victoria a précipité les choses et les malfrats se sont sentis menacés.
  • Ingrid se fait tirer dessus. Jéricho et Victoria également et Freya se prend une violente série de coups de pieds destinés à l’assommer pour l'empêcher de nuire.
  • Julian est menacé à deux contre un. Et Dean se retrouve avec un fusil dans le dos.
  • Norah est appelée près de Laura pour la forcer à regarder le spectacle, elle qui semble le plus fragile.
  • Utilisant le couteau confisqué à Dean, Le Régisseur coupe l'index de Laura pour être en possession de l'empreinte digitale qui permettra d'ouvrir la base de données.


Attention

Laura ayant donné le code, elle a précipité la victoire des ravisseurs et de ce fait, stoppé le chrono qui était joué aux dés (il ne servait donc plus à rien de le conserver).

POUR TOUS
Pour ces tours à venir, vous pouvez réagir en conséquence mais gardez en tête que l'équipe du Régisseur est sortie de la pièce et qu'elle est maintenant hors de portée. La base de données a été forcée.

DEAD LINE

[spoiler]Nous gardons la date du 15 DÉCEMBRE MINUIT pour que vous puissiez poster entre vous à votre convenance. Ce délai passé, l'Event sera clôturé. Merci à tous pour votre participation et pour votre rigueur. Nous avons perdu une bataille, mais pas la guerre !


Mar 27 Nov - 18:42
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PRISE D'OTAGE [CLÔTURE]





"Ici centre de contrôle, nous avons perdu le sign..."
L'agent n'eut pas le temps de terminer sa phrase car le ton de la fille Masrani l'avait fait taire sur le champ. Était-ce la panique qu'il pouvait aisément déceler ou les aveux qu'elle lui faisait au bout du fil ? Les deux à la fois, sans aucun doute. C'est pourquoi il ne perdit guère de temps et s’exécuta dans la seconde, déléguant à son collègue la partie médicale de la mission pour plus d'efficacité. Chaque seconde serait précieuse.
De là, il chercha à joindre les plus gradés qu'il pourrait trouver dans le service de la sécurité. Il n'était pas nécessaire de biper Powell car c'était son signalement qu'il avait reçu de l'hôtel. Il n'eut pas de réponse de la part de Blake, ni de Mora et ni de Hill et il en déduisit qu'ils n'étaient pas à leurs postes de travail respectifs ou en mission. N'y avait-il donc personne de disponible sur de lopin de terre à la con ?
Finalement, on lui répondit et enfin, il pu envoyer une brigade armée en direction du laboratoire comme demandé. Il n'y comprenait pas grand chose, mais il appliquait les ordres directs. Comment des hommes armés avaient-ils pu pénétrer sur l'île sans autorisation et surtout en toute discrétion ? En tout cas, s'ils avaient pu entrer de la sorte c'est qu'ils devaient avoir une issue de secours en tête. "Centre de contrôle, affrétez une équipe permanente sur le port, la plage ainsi que sur la piste d’atterrissage 1 et 3, immédiatement." Pas de chance d'évasion, les gars. Oubliez.

Stan, le collègue, n'avait pas chômé pendant ce temps et avait dans la minute, dépêche toutes les unités de secours disponibles vers l'hôtel. Il n'avait pas mis les petits plats dans les grands et avait rameuté toute la cavalerie, ne sachant pas de combien de blessés il était question exactement. Un ? Deux ? Dix ? Puis soudain, il eut l'illumination et décolla le post-it qui était collé à son écran et qui mentionnait la réunion quasi-obligatoire de Claire Dearing. Oh le con, il l'avait zappé celle-là ! Il le montra à son voisin qui comprit immédiatement. Ni une ni deux, il enfonça le loquet du code rouge signalant une urgence de premier ordre.

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"Nous sommes déjà en route, Mademoiselle Anderson. Faites le nécessaire pour nous faciliter l'accès et les manœuvres à venir."
Les sirènes hurlaient dans les rues sombres du village, venant rompre les derniers soupirs nocturnes encore intacts. D'un large coup de frein, la première ambulance dérapa sur les gravillons du porche de l'hôtel. Les portes étaient déjà grandes ouvertes et le premier binôme de blouses blanches accourra, civière en main et l'attirail d'urgence sous le bras. D'après les dires d'Anderson, certains ne pourraient être manipulés facilement. Elle avait raison.
D'un geste du bras, le Dr.Hisling désigna successivement la jeune Freya Mora et la fille Masrani et aussitôt, on bifurqua dans leurs directions. Le personnel issu de la seconde ambulance qui venait d'arriver prit en charge le vétérinaire Dockery et le dénommé Blake. Les blessures s'accumulaient mais ne se ressemblaient pas et il était difficile d'établir un diagnostic exempt de tout risque pour chacun d'entre eux. Ils auraient pu bénéficier de l'expertise de la doctoresse Anderson, ce qui aurait facilité les choses mais il semblerait qu'elle ait été elle-même inconsciente pendant ce tragique événement. Arrivaient-ils trop tard ?
Hisling criait des ordres à droite, à gauche et même parfois à lui-même tant il était débordé. S'étant rapproché de la chef de la sécurité, il eut un moment d’hésitation en voyant l'ampleur des dégâts et se reprit très vite, écartant la chemise qui avait piètrement fait son boulot de compression. "Vous avez eu les gestes qu'il fallait, nous allons prendre le relais Monsieur Nicholls." fit-il en s'épongeant le front. "Bishoff, du rhésus B- et du renfort !" s’époumona-t-il.
On s'affairait de toute part, et les premiers à partir furent Mora car elle avait été vite prise en charge, et Blake car il souffraient sans doute de lésions internes qui ne pourraient certainement pas être bien traitées sur cette moquette haut-de-gamme. Ils occupèrent le premier véhicule qui partir en direction de la piste d'hélicoptère qui de toute façon, était déjà sur le qui-vive et prête à recevoir de la visite. "Allez on se bouge les ischions, on est pas chez Mémé !" entendit-on parmi l'équipe sur place, sous pression. Une seconde ambulance emporta Dockery et Adam Andrew dans un tintamarre de lumières bleues de de gyrophares.

"Gilles, Bishoff à l'appareil. Assurez-vous de rapporter la phalange proximale 2 le plus vite possible avant qu'elle se nécrose. Le délai maximum est de 6H avant de rendre cette opération impossi...hein ? Et quoi que vous comprenez rien de ce que je vous dit ??! Trouvez-moi cet index, bordel ! C'est clair maintenant ?"
Le Dr.Bishoff se retourna alors vers Masrani et la conduisit délicatement vers le véhicule et lui intima de s'asseoir. L’hémorragie était encore virulente mais elle avait eu la bienséance de ne pas faire de garrot ce qui aurait accéléré la détérioration de sa main. Il lui désinfecta la plaie béante, remplaçant par un linge propre et en y ajoutant de la glace : "Cela va ralentir le processus jusqu'à ce que tout rentre dans l'ordre. Ce n'est qu'une question de temps, ne vous inquiétez pas."
Il eu à peine le temps de se pousser que la civière soutenant le corps inanimé de Powell et son cortège de perfusions vint rouler jusqu'à eux. Les portes se refermèrent et ce fut à leur tour de se diriger vers la piste qui les emporterait vers le continent.

On autorisa Anderson à monter avec la technicienne, Moore qui avait reçu une balle dans la jambe et qui braillait encore parfois comme un cochon destiné au méchoui.On l'avait retrouvé dans la pièce adjacente, allez savoir pourquoi. Aucune trace de Claire Dearing, qui avait sûrement dû être embarquée avec les ravisseurs pour la potentielle valeur marchande qu'elle offrait alors.
Une fois la dernière ambulance enfuie, Hisling, resté sur place se dirigea vers les derniers rescapés. Ils n'étaient pas les plus amochés mais restaient des victimes tout de même. Ils avaient reçu des coups, tous, et vécu des choses qu'il leur serait difficile de rejeter au loin. Il se frotta les mains sur sa blouse déjà pleine de sang et regarda la jeune Ayoun, Nicholls et la téméraire Hill.

"Je vous doit une fière chandelle. Sans vous, certains seraient encore étendus là, un drap noir sur la tête. Ce n'est qu'un maigre lot de consolation après ce que vous venez de vivre, mais vous avez déjà toute ma gratitude. " Il fit une pause pour leur laisser le temps d'ingérer ces faibles éloges, faibles mais sincères. S'ils n'avaient pas fait rassuré et pratiqué les premiers soins, lui-même n'aurait pas pu faire son boulot. "Suivez-moi maintenant, il ne sert à rien de rester ici. Récupérez ce qui est à vous et vous repartirez prendre du repos dans vos appartements lorsque je vous aurait examiné et donné mon aval pour ça. J'ai vu assez de choses atypiques ici, pour savoir qu'un traumatisme n'est pas toujours visible au premier coup d’œil."
La tension baissait peu à peu et il reprenait ses réflexes habituels. Une cellule de crise allait être mise en place dès demain, pour leur permettre de soulager leur conscience, c'est la moindre des choses à faire. Quel souvenir horrible...

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"Allez go, go, go !"
Un coup de pied vint enfoncer la porte du laboratoire déjà brinquebalante. Ils n'étaient pas les premiers, c'était évident. D'un geste muet, Gilles Mc'Ogen effectua le code habituel : deux à gauche, deux à droite et deux au centre. Lui couvrirait les arrières. Powell aurait sûrement fait autrement que de fracasser la porte, mais pour une fois qu'il pouvait effectuer une opération sans être sous son giron. Quoiqu'il fasse de toute façon, ça n'allait jamais : trop bruyant M'Ogen. Trop direct, M'Ogen. Trop hâtif, Mc'Ogen. Trop ceci, trop cela....putain il la voyait encore avec son grand air pincé et ses mimiques dignes de la duchesse de Cambridge. Mais aujourd'hui, on allait faire à sa façon et : ça allait roxer du poney !
Alors qu'il se délectait déjà, des coups de feu retentirent dans l'annexe du labo' destiné aux archives génétiques et d'autres trucs auxquels il ne comprendrait jamais rien. Tous convergèrent vers ladite salle et ils observèrent le cadavre étendu là, abattu par River d'une balle dans la tête. A son côté, le précieux Graal qu'on réclamait tant. C'était déjà ça de pris.
"Bien joué River, maintenant met-moi ça au frais qu'on puisse réclamer un treizième mois à Masrani en échange." Des bruits de course leur fit détourner la tête.
"Merde! Ils nous ont entendu arriver et ils ont contourné le bâtiment ces enfoirés. Laissez-les pas s'barrer !" tonna Mc'Ogen. La mêlée se jeta de nouveau dehors pour poursuivre les derniers truands qui s'étaient déjà quasiment évaporés dans la forêt. La nuit et les obstacles naturels aidants, ils perdirent bientôt leurs traces et durent renoncer. De retour au laboratoire, ils le fouillèrent tout de même et découvrirent le système forcé et le corps de Claire Dearing, solidement ligoté et inconsciente dans la salle de réfrigération. Au moins elle était en vie et presque intacte. Parce que mine de rien, on était pas au service des rapatriement d'organes ici. River fut missionné à la courte paille pour rapporter le reliquaire promptement tandis que les autres prirent le chemin du centre de contrôle pour annoncer leur échec et relayer les dernières informations.

Les intrus étaient toujours sur l'île, mais était-ce un bon point ? De plus, ils avaient sans doute réussi à obtenir les données. Si nous devions tirer quelques points positifs ce serait qu'heureusement, les pertes humaines auraient pu se montrer irréversibles et ce n'était pas le cas. Tout le monde était plus ou moins en vie et les dégâts n'étaient que matériels, psychologiques et à terme, financiers...




FIN DE L'EVENT


Mar 18 Déc - 2:26
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