Forcément que Julian ne peut pas s'empêcher de me faire une petite remarque quand je lui fais savoir que je prends sur moi pour ne pas faire de conneries.. Forcément que je ne suis pas étonné du tout et que je m'y attendais... mais putain c'est en train de me rendre fou et je dois faire un sacré effort pour ne pas vriller et partir tout droit, en courant, seul.... Sauf que maintenant j'ai un petit quelque chose qui m'empêche de faire des conneries et je pense, je suis sûr même, que c'est à la grossesse de Leanne que Julian doit dire merci.
Bref, pas le temps de rigoler et encore moins de rester planter là. Rapidement, je donne le signale pour qu'on reprenne notre route et sans attendre, je prends les devants histoire de mener la marche. La végétation a pris beaucoup de place, il n'y a plus vraiment de traces humaines, à part les structures, et cet endroit fout encore un peu plus la trouille.
L'oreille toujours à l'affût, je suis à l'écoute du moindre bruit, du premier buisson qui bouge et du premier cri mais rien, le calme plat. La seule chose qu'on entend c'est le bruit des machettes qui font un passage dans l'épaisse végétation.
Au bout d'un petit moment de marche, je ralentis le rythme et me laisse dépasser pour reprendre ma place prés de Julian. Ce dernier couvre les arrières du groupe et alors qu'il est en pleine surveillance d'un petit groupe de compso, la radio se met à grésiller faisant savoir qu'il n'y a aucun gros gabarit dans le coin. Je laisse échapper un lourd soupir et lève les yeux au ciel avant de secouer la tête.
- Je t'en foutrais moi du RAS côté gros gabarit...
En tout cas, les petits dinos qui nous suivent depuis quelques minutes semblent avoir trouver leur petit bonheur... Moi, je surveille leur comportement... Si un gros arrive, ils ne resteront pas là plus longtemps... préférant ramasser les morceaux qu'attaquer... de vrais opportunistes !
- Allez les gars ! on est pas là pour se la toucher ! on se remue !
J'éclate un nouveau moustique/avion de chasse et laisse échapper un nouveau juron... Elles sont par là, je le sais, je le sens...et je suis même sûr qu'elles nous ont pris en chasse.
Equipement:
- Un pantalon cargo kaki et un T-Shirt manches courtes beiges + oreillette - Un gilet renforcé en fibre de carbone pour les chocs, qui contient une barre protéinée, gourde, un sifflet, un kit de premier secours et un petit couteau de survie et son talkie walkie relié par Bluetooth à son oreillette. - Un sac à dos contenant : Un fumigène, une flashbomb, un scanner de balises pour tenter de lire les puces sur les dinosaures et un étui contenant 5 fléchettes supplémentaires : 3 dosées pour grands spécimens, 2 pour petits et deux boîtes de cartouches pour le Marlin. - Balise GPS - Fusil à fléchette hypodermique chargé pour petit spécimen. - L'éternel fusil Marlin - Tablette numérique de petite taille fixée à son avant-bras gauche qui lui sera utile pour transmettre immédiatement les données liées aux dinosaures. - Le clicker utilisé lors du dressage des raptors
Le groupe poursuivait sa marche lentement. Il faisait toujours aussi lourd, même si l'épaisseur de la forêt cachait le soleil. La veille, quelques orages avaient éclaté et Julian se demanda si le ciel tiendrait. Quelques fois, la météo devenait incertaine dans cette partie du globe. Toujours à l'affût, Julian fermait la marche, gardant un oeil sur les petits opportunistes qui les suivaient en piaillant. Un fin sourire étira ses lèvres un court instant avant que ses traits ne reprennent leur sérieux. Julian ne pouvait pas se laisser attendrir par ces petits animaux alors qu'ils risquaient d'être les proies de plus gros spécimens. Malgré les intuitions d'Owen, tout demeura calme. Julian se fiait aussi bien à ses sens qu'à la présence des petits compsognatus. Au moindre danger, ils détaleraient pour sûr.
Le toit de la station météo apparut enfin à travers la canopée, la forêt se faisant légèrement moins dense. C'était bon signe mais ça ne voulait pas dire pour autant que tout était gagné, surtout si comme le pressentait Owen, le groupe était pris en chasse. Julian aussi avait le sentiment d'être surveillé, pourtant, rien ne semblait bouger. Lors que la forêt laissa enfin place au large bâtiment qui abritait le générateur, tous les membres ne purent que constater les dégâts du temps et du climat. Des lianes couvraient les murs à certains endroits, comme si la végétation cherchait à absorber cet verrue humaine. De nombreux buissons avaient poussés par-ci par-là, une paraboles de la station météo s'était détachée et gisait au sol, telle l'oreille d'un géant, le fer rongé par l'humidité ou détruit par une tempête tropicale.
Il ne restait plus qu'à espérer que le générateur soit encore fonctionnel et que rien n'ait pu pénétrer dans les locaux. Pour s'en assurer, le groupe fut séparé en 2. Le premier devait délimiter un périphérique de sécurité aux abords de l'entrée du bâtiment, les autres allait pénétrer à l'intérieur. Julian fut assigné à l'extérieur et se posta de manière à être dos eu bâtiment, les yeux rivés sur la forêt. Tout comme les 5 autres agents, le fusil toujours en joue, il patienta. Le plus dur était de conserver une concentration sur le long terme.
Vous êtes arrivés à votre destination. Et finalement, si l’accès à la station météo semblait long et complexe sur le papier, nulle grande difficulté n’est venue se dresser sur votre route. Enfin, pour le moment. Depuis que vous avez franchi le mur, on peut accorder raison au Responsable du secteur animalier : quelque chose se cache, là, dans la flore abondante de la jungle. Vous ont-ils remarqué ? La question demeure. Cependant, pour arriver jusque-là, il vous aura fallu traverser une partie de la forêt de bambous et le silence semble alors s’être abattu sur le groupe car la tension est soudainement montée d’un cran.
Lors de votre franchissement du mur, deux agents de sécurités sont restés sur les hauteurs, au niveau de l’immense porte. Après tout, si l’électricité repart, ils pourront vous aider à quitter le secteur 2 avec davantage de facilité… Et même si la porte demeure close, quatre bras pour vous tirer d’un mauvais pas, n’est-ce pas une idée formidable ? Vous n’êtes donc plus que treize… De quoi vous porter chance ?
Un soupir de soulagement généralisé se fit entendre alors que vous repoussiez les dernières branches, découvrant la station météo plus verdoyante qu’elle e l’avait été. Entre mousses et lianes, l’œuvre de l’homme se confondait aisément dans celle de la nature. Des travaux, il y en aurait à réaliser à l’avenir sur l’infrastructure, c’était certain. Mais pour l’heure, il s’agirait d’entrer. La porte principale semble verrouillée… A moins qu’elle ne soit coincée ? Un tour de force ne serait pas de trop et les gros bras sont appelés en renfort. Les électriciens, eux, tirent légèrement la grimace : Le bâtiment leur donne peu d’espoir sur un redémarrage aisé… Vous risquez d’être là pour un certain temps…
Carte de la mission:
Légende : Double pointillés : Enceinte du secteur Ligne continue : Ancienne route
- Merci de lancer un dé "Force" pour les membres de la sécurité. Pour les autres, vous pouvez tenter d'ouvrir la porte avec l'aide d'un PNJ de la sécurité ayant une valeur par défaut de 8 en Force. - Vous êtes accompagnés par le MJ sur cette mission. Le staff se réserve le droit d’intervenir quand bon lui semble. Merci de ne pas attendre un post MJ après chaque fin de tour. - L'utilisation des dés est grandement recommandée. Le staff peut vous demander de réaliser certains jets selon la situation donnée. - La carte proposée vient faire un zoom sur le terrain concerné. Vous pouvez prendre en compte les lignes de dénivelés mais la flore demeure celle observable dans les annexes.
Faut vraiment qu'on bouge, y'a pas à tortiller ! En tout cas, moi je ne compte pas rester là et attendre de me faire bouffer le cul ! Bordel, c'est pas parce qu'on nous fait savoir qu'il y a rien sur les radars que c'est vraiment le cas et puis en toute franchise, je ne leur fais pas vraiment confiance. Ils ont le cul bien au chaud et en sécurité alors que nous on est là, en plein milieu de la jungle et qu'on a entendu un truc hurler et que ce hurlement voulait clairement dire "J'vais tous vous bouffer !"
Il fait chaud et plus on avance, plus j'ai la sensation que c'est de pire en pire. A plusieurs reprises, je suis obligée de m'éponger le front pour y voir quelque chose. Les compso toujours collés aux basques, on avance avec une certaine facilité ce qui est assez déconcertant on ne va pas se mentir.
Heureusement ou pas, parce que je risque de passer pour un con, le trajet se passe sans vraiment trop d'encombres et c'est au bout de plusieurs heures que le toit de la station météo finit par se montrer. Je pousse un soupir de soulagement et jette un rapide coup d'oeil en direction de Julian... tout est calme, la nature a repris ses droits et à présent, il va falloir qu'on face preuve de la plus grande des prudences... Cette nouvelle configuration des lieux, on ne la connait pas... alors que les dinos, oui.
Après une courte pause de quelques minutes, il est décidé de séparer le groupe en deux, ce qui, en soit est assez logique... Je prends la décision de me joindre au groupe à l'intérieur... toujours avec l'objectif principal de la mission en tête mais bien décidé à retrouver des traces de Blue.
Avant de tenter de pénétrer dans le bâtiment, je m'approche de Julian.
- Sois prudent mec... ça m'ennuierait de te ramener en kit.
Je souris, lui donne une légère tape dans le dos et rejoins les autres pour tenter d'aider à l'ouverture de la porte. En tout cas, à en croire la tronche que tirent les électriciens, ça risque d'être la merde là-dedans.
- Allez haut les coeurs les mecs ! Tant qu'il y a de la vie, y'a de l'espoir !
Equipement:
- Un pantalon cargo kaki et un T-Shirt manches courtes beiges + oreillette - Un gilet renforcé en fibre de carbone pour les chocs, qui contient une barre protéinée, gourde, un sifflet, un kit de premier secours et un petit couteau de survie et son talkie walkie relié par Bluetooth à son oreillette. - Un sac à dos contenant : Un fumigène, une flashbomb, un scanner de balises pour tenter de lire les puces sur les dinosaures et un étui contenant 5 fléchettes supplémentaires : 3 dosées pour grands spécimens, 2 pour petits et deux boîtes de cartouches pour le Marlin. - Balise GPS - Fusil à fléchette hypodermique chargé pour petit spécimen. - L'éternel fusil Marlin - Tablette numérique de petite taille fixée à son avant-bras gauche qui lui sera utile pour transmettre immédiatement les données liées aux dinosaures. - Le clicker utilisé lors du dressage des raptors
Julian pouffa aux propos de Owen. Il était si souvent revenu blessé, que la phrase faisait sens. Ceci dit, il n'avait encore perdu aucun morceau et n'avait pas envie de commencer. Malgré l'atmosphère tendue, le groupe au complet semblait positif et plein d'entrain. L'arrivée à la station y était pour beaucoup. La moitié de la mission venait d'être réalisée, restait à savoir si l'autre partie était encore faisable. Et si les ingénieurs n'arrivaient pas à réparer ? Et s'il fallait du renfort matériel ou personnel ? Pendant qu'on s'affairait dans son dos, l'agent d'intervention demeurait concentré sur la jungle environnante, fusil bien en main.
Très vite, l'enthousiasme de l'équipe se transforma en grognements et en phrases fleuries, face à la porte close. Sans electricité, tout restait bien scellé. - On a besoin d'un coup de main là ! lança la voix d'une femme depuis l'entrée.
Le responsable de la sécurité pour cette mission fit un geste de la tête vers Julian pour qu'il aille voir. Obéissant, Julian rangea son fusil et rejoignit le groupe. Il ne put que constater que malgré tous les efforts de l'équipe sur place, rien ne bougeait. Après un regard à Owen, il se proposa pour faire levier entre les deux panneaux qui composaient la porte, afin de forcer l'ouverture. On lui donna un pied de biche et avec l'aide d'un ingénieur, il l'enfonça entre les portes à grand renfort de coups de marteau. On avait vu plus discret mais, la fin justifiait les moyens pas vrai ? Julian poussa de tout son poids jusqu'à ce que la force lui manque. Dans un grincement sinistre qui résonna dans l'entrée, les portes bougèrent enfin, de quelques centimètres à peine. L'agent céda sa place à un autre homme qui prit le relai et acheva ainsi le travail. En sueur, Julian s'adossa sur le mur, penché en avant les maisn sur ses genoux afin de reprendre son souffle après un tel effort. La porte était ouverte mais à quel prix ?
Equipement:
Une tenue militaire = treillis kaki+ t-shirt noir manche courte + casque. - Un gilet renforcé en fibre de carbone pour les chocs qui permet aussi de stocker le petit matériel ( barre protéinée, sifflet, kit de premiers secours, corde.Attachée à l'enceinte - Un fumigène, une flashbomb, un talkie-walkie longue portée connecté via un casque pour garder le contact avec le bateau et ses coéquipiers en main libre. - Une balise GPS sous forme de patch posé au niveau de la poitrine directement sur la peau qui relève les constantes vitales. - 3 armes : un fusil à fléchettes hypodermiques avec une dose + 1 dose supplémentaire en munition + Glock23 en harnais au niveau de l'épaule + 2 chargeurs de 13 munitions et 1 couteau militaire à la ceinture. - Téléphone perso dans la poche.
C'est la merde, tout le monde tire la gueule alors qu'il y a encore quelques minutes, ils jubilaient tous de nous voir déjà ici. Après un rapide coup d'oeil autour de moi, force est de constater que la porte est vraiment bloquée pour le coup et que sans électricité, cela risque de compliquer un peu la situation. Mais pas le temps de se morfondre, on doit trouver une entrée et c'est avec tous les gros bras de la mission, qu'on se met en quête d'un endroit, une ouverture, pour laisser passer les hommes.
Au bout de quelques minutes, c'est la voix d'une des femmes du groupe qui se fait entendre alors qu'elle nous informe avoir besoin d'un coup de main. Ni une, ni deux, voilà que les mecs en mal d'adrénaline et se sentant pousser des ailes, se dirigent vers elle. Julian ferme la marche après avoir reçu ordre de son supérieur d'aller aider. Et moi ? Je fais quoi ? et bien je croise les bras et j'attends bien sagement que la porte s'ouvre. Ils sont déjà un paquet, pas besoin d'une paire de bras en plus.
Au bout de quelques minutes et après quelques coups de marteau bien frappés, Julian réussit à faire coulisser la porte sur quelques centimètres... Juste assez pour que GI-Joe sorte les biscotos et finisse le travail.
Je m'approche de Julian qui s'est adossé contre le mur et viens lui donner une claque sur l'épaule.
- Ne te blesse pas hein !
Je laisse échapper un rire et sans rien attendre de plus, je m'avance vers la porte ouverte. Machinalement mais surtout parce que je ne le sens pas spécialement bien, je sors mon arme, la charge et prends une profonde inspiration.
- Quand il faut y aller....
Equipement:
- Un pantalon cargo kaki et un T-Shirt manches courtes beiges + oreillette - Un gilet renforcé en fibre de carbone pour les chocs, qui contient une barre protéinée, gourde, un sifflet, un kit de premier secours et un petit couteau de survie et son talkie walkie relié par Bluetooth à son oreillette. - Un sac à dos contenant : Un fumigène, une flashbomb, un scanner de balises pour tenter de lire les puces sur les dinosaures et un étui contenant 5 fléchettes supplémentaires : 3 dosées pour grands spécimens, 2 pour petits et deux boîtes de cartouches pour le Marlin. - Balise GPS - Fusil à fléchette hypodermique chargé pour petit spécimen. - L'éternel fusil Marlin - Tablette numérique de petite taille fixée à son avant-bras gauche qui lui sera utile pour transmettre immédiatement les données liées aux dinosaures. - Le clicker utilisé lors du dressage des raptors
Concentré sur la reprise de son souffle, Julian afficha un bref sourire à l'injonction de Owen. L'air était étouffant, la chaleur écrasante dans cette zone dénuée de canopée pour les protéger. Le soleil, toujours à son zenith cognait fort. L'agent de sécurité tira sa gourde d'eau en grimaçant encore sous l'effet de l'effort passé, puis bu une grande gorgée. Le responsable lui ordonna d'établir le camp qui délimiterait la zone de sécurité avant de rejoindre les autres à l'intérieur. Julian s'affaira donc, avec quelques autres à installer le périmètre, se plaçant à des endroits stratégiques, non loin de l'entrée. De là où il était, il pouvait voir toute la forêt à sa droite et en face. Fusil bien en main, il enclencha rapidement son talkie pour signaler au central que tout était RAS.
Le temps passa et sembla durer des siècles sous ce soleil de plomb. Avec son casque il avait l'impression de cuire. S'il y avait bien quelque chose de positif dans ce boulot, c'était la patience que cela inculquait. Dans le silence de l'attente et de l'inquiétude, les agents surveillaient les alentour avec sérieux, à l'écoute du moins mouvement, du moindre bruit. Les compsognathus avaient disparu, Julian ne s'en était pas rendu compte et maintenant que c'était fait, il ressera sa prise sur son fusil. C'est alors que dans un grondement guttural, il vit sortir des fourrés sur sa droite un raptor vert-de-gris. L'animal le fixait en avançant lentement, un feulement s'échappant de sa gueule.
- Raptor...annonça-t-il aux autres agents du périmètre, qui aussitôt se tournèrent vers l'animal.
Il savait toutefois que la tranquilité apparente de la bête ne présageait rien de bon. Elle captait toute l'attention pour donner l'opportunité à d'autres d'attaquer. Il savait aussi, que cette espèce n'aimait pas l'excitation et les mouvements brusques. Mieux valait garder son calme et simplement se préparer à appuyer sur la gachette, avant d'esquiver.
Julian n'avait plus qu'à espérer que tout le monde avait été bien briefé.
Equipement a écrit:
Une tenue militaire = treillis kaki+ t-shirt noir manche courte + casque. - Un gilet renforcé en fibre de carbone pour les chocs qui permet aussi de stocker le petit matériel ( barre protéinée, sifflet, kit de premiers secours, corde.Attachée à l'enceinte - Un fumigène, une flashbomb, un talkie-walkie longue portée connecté via un casque pour garder le contact avec le bateau et ses coéquipiers en main libre. - Une balise GPS sous forme de patch posé au niveau de la poitrine directement sur la peau qui relève les constantes vitales. - 3 armes : un fusil à fléchettes hypodermiques avec une dose + 1 dose supplémentaire en munition + Glock23 en harnais au niveau de l'épaule + 2 chargeurs de 13 munitions et 1 couteau militaire à la ceinture. - Téléphone perso dans la poche.
La porte avait fini par céder, sous le poids de la force et de l’effort collectif. L’entrée de la station météo était désormais grande ouverte et l’heure vint pour les Geeks de la bande de s’armer de leur plus beau sourire. Oh, leur volonté d’agir et d’être enfin utiles les poussa à avoir envie de s’engouffrer sans plus attendre dans le bâtiment mais il n’en fut pas question : une brèche pouvait exister et un dinosaure ou un autre avait pu se glisser entre les murs du bâtiment.
Vous décidez donc de former deux groupes : cinq agents de la sécurité – Julian inclus – restent à l’extérieur quand les deux restant accompagnent le groupe d’électriciens et animaliers.
A l’intérieur
Un long couloir apparaît devant vous, des portes automatiques à activation par badge se trouvant de part et d’autre, à intervalle presque régulier. Autrefois, des scientifiques se trouvaient là, analysant le climat et les perturbations météorologiques probables pour mieux avertir les autorités en place. Les portes sont closes, à l’exception d’une ou deux. Tout semble avoir été figé dans le temps : Documents au sol, matériel non-rangé… Les lieux avaient été brusquement évacués et chacun n’avait pu achever sa tâche convenablement.
Theo Brown, l’un des électriciens, dégaina une tablette de son sac. L’allumant, il afficha le plan théorique du bâtiment. Théorique, oui, car après quatre années d’inoccupation, il n’était pas impossible qu’un mur se soit effondré ou qu’une porte close les empêchent de passer. Sans électricité, le souci reste le même. Il prit momentanément le leadership, indiquant l’itinéraire qui leur serait préférentiel pour descendre au sous-sol, là où se trouvait le générateur principal. Il ne fallut, à dire vrai, qu’un bon quart d’heure pour vous faufiler dans les entrailles du bâtiment bétonné. Et face aux appareils, les deux geeks échangèrent un regard enthousiaste. Déposant leurs sacs, ils firent l’état des lieux de l’engin et connectèrent leurs propres appareils. Au bout de plusieurs minutes, les grimaces commencèrent à se faire et le diagnostic tomba : ils en auraient pour au moins une heure, sans garantie véritable d'une réussite. Le temps pour le reste de l’équipe d’approfondir sa visite du bâtiment, potentiellement en quête de matériel annexe qui pourrait être utile ? A moins que quelques éléments extérieurs ne viennent perturber tout cela ?
Citation :
Lancer un dé compétence. Impair = Vous captez difficilement et n'avez pas l'information concernant le raptor à l'extérieur. Pair : Vous recevez l'information soufflée par Julian dans son casque, bien qu'une confirmation pourrait-être nécessaire face à l'information.
Des fouilles peuvent être entreprises dans le bâtiment.
A l'extérieur
Ce ne fut bien qu’une bonne dizaine de minutes après l’entrée de l’autre groupe qu’il sortit des fougères. L’animal était là, inclinant la tête avec une vivacité témoignant de la rapidité dont il pourrait être capable s’il devait soudainement se mettre en marche. Emettant quelques sons gutturaux, il cligne plusieurs fois des yeux, ses paupières reptiliennes offrant un spectacle des plus spectaculaires à ceux qui n’y étaient habitués.
La bête sembla jouer avec les présents autant que jauger leur sang-froid. Les volontaires s’étaient légèrement crispés et les plus téméraires armaient déjà leur fusil, prêts à en découdre. L’animal n’était pas sot, bien au contraire. Poussant un cri plus puissant, il tenta de voir qui réagirait à ses provocations et adapterait évidemment son comportement à celui des hommes.
Citation :
Lancer un dé compétence. Impair = Le raptor s'échappe à travers le rideau de jungle. Pair : L'animal continue ses tentatives de distraction.
La réaction du reste de l'équipe peut être jouée au dé.
Carte de la mission:
Légende : Double pointillés : Enceinte du secteur Ligne continue : Ancienne route
- Vous êtes accompagnés par le MJ sur cette mission. Le staff se réserve le droit d’intervenir quand bon lui semble. - L'utilisation des dés est grandement recommandée. Le staff peut vous demander de réaliser certains jets selon la situation donnée. - La carte proposée vient faire un zoom sur le terrain concerné. Vous pouvez prendre en compte les lignes de dénivelés mais la flore demeure celle observable dans les annexes.
La porte finit par s'ouvrir et je ne peux pas m'empêcher de pousser un soupir de soulagement... Sauf que le soulagement ne dure pas bien longtemps... Alors que je regarde par l'ouverture de la lourde porte, je constate qu'à l'intérieur du bâtiment, tout comme à l'extérieur, la végétation a pris le pouvoir... Mais ce n'est pas tout... Alors qu'on rentre, c'est dans un long couloir qu'on se retrouve et tout au bout des portes qui fonctionnent par badge. Heureusement quelques unes sont encore ouvertes mais plus on avance, plus je me dis que ça sent probablement les emmerdes.
Des documents éparpillés au sol, je ramasse un vieux dossier, regarde à l'intérieur mais je n'y comprends pas grand chose... par contre, force est de constater que comme pour tout le reste, les lieux ont été quitté rapidement... Je prends une nouvelle inspiration, reprends mon arme en main et m'avance vers Brown qui vient de sortir une tablette de son sac. Je fronce les sourcils, observe ce qu'il fait et très vite, il prend la tête de l'équipe et je ne peux pas m'empêcher de sourire. Rapidement, la marche à suivre est donnée et c'est dans le sous sol qu'il faut qu'on se rende.
- Vous avez entendu le patron ? tout le monde en bas !
Sans attendre, toute la joyeuse bande se met en route, direction les sous-sols et une fois en bas, au bout d'une quinzaine de minutes, on se retrouve devant le générateur en question. A en croire les visages heureux des deux types, j'en déduis qu'ils sont plutôt contents d'être là... Moi aussi, du moins au début... parce que lorsqu'ils nous annoncent qu'il y en a pour au moins une heure sans garantie que cela fonctionne, je ne peux pas m'empêcher de laisser échapper un juron. Je me tourne vers les deux mecs de la sécurité.
- Il m'en faut un pour jouer les nounous et un pour me suivre. Qui est partant pour un peu d'exploration ?
Forcément, les deux lèvent les mains mais moi, je n'en ai besoin que d'un. Alors au pif, je désigne l'un des mecs et sans attendre, après avoir vérifié les radios, on se met en route avec pour objectif d'explorer le plus de zones possibles.
Mais à peine sommes nous en haut des marches, qu'une voix ou plutôt un murmure se fait entendre dans l'oreillette. Je crois reconnaître la voix de Julian mais je n'en suis pas sûr... par contre, j'espère que ce qu'il a dit n'est pas ce que je pense. Je m'arrête net et je fais signe au gars de ne plus bouger.
- Ne bougez pas. Ne la laissez pas sentir qu'elle vous effraie. Déconnez pas...
Et sans attendre, comme pour chercher une confirmation, je m'élance, à la recherche d'un moyen de prendre un peu de hauteur pour vérifier si j'ai bien entendu ce que j'ai entendu ou non !
Equipement:
- Un pantalon cargo kaki et un T-Shirt manches courtes beiges + oreillette - Un gilet renforcé en fibre de carbone pour les chocs, qui contient une barre protéinée, gourde, un sifflet, un kit de premier secours et un petit couteau de survie et son talkie walkie relié par Bluetooth à son oreillette. - Un sac à dos contenant : Un fumigène, une flashbomb, un scanner de balises pour tenter de lire les puces sur les dinosaures et un étui contenant 5 fléchettes supplémentaires : 3 dosées pour grands spécimens, 2 pour petits et deux boîtes de cartouches pour le Marlin. - Balise GPS - Fusil à fléchette hypodermique chargé pour petit spécimen. - L'éternel fusil Marlin - Tablette numérique de petite taille fixée à son avant-bras gauche qui lui sera utile pour transmettre immédiatement les données liées aux dinosaures. - Le clicker utilisé lors du dressage des raptors
Le velociraptor demeurait là, la tête légèrement penché en avant. Ses pupilles ciblant chacun des agents visibles. Julian se trouvait en première ligne mais ce n'était pas forcément lui, le plus en danger. S'il voyait juste, cette femelle n'était qu'une distraction pour que les autres attaquent l'arrière du groupe. Il tenta de tourner la tête suffisament pour voir comment les autres s'organisaient mais n'eut pas le loisir de s'en assurer. Déjà, l'animal poussait un cri plus puissant que les autres et Julian grimaça sous l'effet. Ce n'était pas un cri d'appel. En la voyait se redresser légèrement, il conclut que ce cri avait plutot pour objectif de l'impressionner. Ça marchait plutôt bien.
Sans la quitter du regard, il recula d'un pas, puis d'un autre. Légèrement replié, prêt à bondir au cas où, ses mouvements étaient lents pour ne pas l'exciter davantage. Il redressa son fusil pour mieux se positionner à tirer mais l'animal s'agitait. D'un coup, elle poussa un nouveau cri et s'avança d'un bond. Puis, elle se ramassa légèrement et bondit à nouveau vers lui pour amorcer sa course.
La détonation de deux fléchettes siffla à ses oreilles en direction de l'animal qui les prit de plein fouet, dont une en pleine poitrine. Le vélociraptor accéléra une dernière fois, toutes griffes dehors en poussant des grognements de colère. Julian n'aurait qu'une seule chance pour esquiver l'attaque avant que l'animal ne sombre dans un profond sommeil. Une seule chance. Peut-être qu'il n'était pas prêt au final, peut-être qu'il n'avait pas cette île dans le sang. Il aurait pu se trouver quantité d'excuses, la réalité le rattrapait. Son timing était mauvais et au moment où il s'apprêtait à sauter sur le côté, elle était déjà sur lui. L'animal le frappa de plein fouet avant de s'effondrer plus loin, il eut tout juste le temps de lever son fusil pour se protéger le visage. Son corps fut projeté à plusieurs mètres avant de s'écraser lourdement sur le sol, le dos heurtant le mur du bâtiment dans un bruit sinistre. Une fois à terre, il n'osa pas bouger. Malgré la poussière, son avant bras brûlait et lorsqu'il sentit un liquide lui couler dessus, il fit l'effort d'ouvrir un oeil. Le tissu de son vêtement avait été arraché et une profonde estafilade courrait sur sa peau. Autour de lui, les autres agents s'agitèrent à la fois euphorique d'avoir endormi le raptor du premier coup et aussi inquiet pour leur collègue.
- Bouge pas Blake, souffla une voix féminine. On va vérifier les dégats.
Il reconnut la voix de cette fille. Potter ou Porter. Elle s'agenouilla à côté de lui et lança aux autres : - Prévenez le centre ! Faites venir l'infirmier. Ça va aller...pas vrai Blake ? - Ouais...grogna-t-il. Une égratignure pas vrai ? Restez sur vos gardes, ils sont rarement seuls.
Il ignorait ce qui lui faisait le plus mal. Sa tête, son dos, son bras ou bien ce nouvel échec.
Equipement:
Une tenue militaire = treillis kaki+ t-shirt noir manche courte + casque. - Un gilet renforcé en fibre de carbone pour les chocs qui permet aussi de stocker le petit matériel ( barre protéinée, sifflet, kit de premiers secours, corde.Attachée à l'enceinte - Un fumigène, une flashbomb, un talkie-walkie longue portée connecté via un casque pour garder le contact avec le bateau et ses coéquipiers en main libre. - Une balise GPS sous forme de patch posé au niveau de la poitrine directement sur la peau qui relève les constantes vitales. - 3 armes : un fusil à fléchettes hypodermiques avec une dose + 1 dose supplémentaire en munition + Glock23 en harnais au niveau de l'épaule + 2 chargeurs de 13 munitions et 1 couteau militaire à la ceinture. - Téléphone perso dans la poche.
C'est la merde. Ce cri, je le reconnaitrais entre mille et s'il y a une, il y en a probablement d'autres tout autour. Je cours, vite, très vite. Je bondis dans les escaliers qui permettent de monter, je saute par dessus les étagères au sol et dans ma poitrine, mon coeur s'affole donnant l'impression qu'il va exploser. Bordel de merde ! j'en étais sûr ! je ne me suis pas planté ! Elles sont là !
- Allez, allez, ALLEZ !
Je serre les dents, peste contre le gars qui me suit et lorsque finalement on arrive en haut, sur le toit, je me précipite vers le bord pour apercevoir ce qu'il se passe. Au moment où mes mains se posent sur le rebord, j'aperçois en contre bas, la raptor qui s'élance vers Julian et qui, d'un coup, vient le frapper pour le faire chuter au sol. Les autres ne bougent pas... c'est cruel mais au moins, ils ont compris la leçon. Mon corps tout entier se crispe et lorsque la raptor s'écroule au sol, je fais un rapide demi tour pour, cette fois, rejoindre l'extérieur.
Le mec derrière moi souffle comme un boeuf et râle mais je m'en fous et je me précipite hors du bâtiment.
- Blake !
Je me fous prés de lui, à genoux et regarde un peu l'étendue des dégâts avant de jeter un coup d'oeil en direction de la nana en charge des soins. D'un coup de tête, elle me fait comprendre que ça devrait aller. Je prends une profonde inspiration.
Détendre l'atmosphère pour éviter que tout le monde pète un plomb... En attendant, je jette un coup d'oeil vers le corps endormi de la raptor et espère, intérieurement que c'est elle... mais il ne s'agit pas de Blue et je me dis qu'avec elle, Julian ne serait peut-être plus là.
Je tourne mon visage vers Julian.
- Prochaine fois, c'est moi qui t'en colle une.
Je finis par me redresser et m'approche de l'animal tout en restant sur mes gardes. Au passage, j'informe le QG qu'on en a une et je demande aux autres de former un cercle autour de Julian et de la raptor... les autres sont là, j'en suis sûr.
Equipement:
- Un pantalon cargo kaki et un T-Shirt manches courtes beiges + oreillette - Un gilet renforcé en fibre de carbone pour les chocs, qui contient une barre protéinée, gourde, un sifflet, un kit de premier secours et un petit couteau de survie et son talkie walkie relié par Bluetooth à son oreillette. - Un sac à dos contenant : Un fumigène, une flashbomb, un scanner de balises pour tenter de lire les puces sur les dinosaures et un étui contenant 5 fléchettes supplémentaires : 3 dosées pour grands spécimens, 2 pour petits et deux boîtes de cartouches pour le Marlin. - Balise GPS - Fusil à fléchette hypodermique chargé pour petit spécimen. - L'éternel fusil Marlin - Tablette numérique de petite taille fixée à son avant-bras gauche qui lui sera utile pour transmettre immédiatement les données liées aux dinosaures. - Le clicker utilisé lors du dressage des raptors
L'agent à ses côtés patienta avec lui jusqu'à l'arrivée de l'infirmier. Les autres se maintenaient sur leur garde, face à une potentielle nouvelle attaque. Il sentait le sang dégouliner sur son avant-bras, ça ne devait pas être beau à voir très honnêtement. La douleur diffuse, irradiant dans tout son bras, se répercutait dans son dos en suivant la pulsation de son coeur. Pour l'instant, l'adrénaline lui permettait de supporter tout ça et puis, les questions tournait en boucle dans son esprit migraineux. Pourquoi n'avait-il pas été assez rapide ? Était-ce vraiment la vitesse qui était en cause ? Avait-il mal jugé la distance ? Bordel, il essayait d'analyser toute la situation mais rien ne lui semblait cohérent. La voix de Owen lui parvint bien avant que l'animalier ne s'accroupisse à côté de lui. Il rit doucement, grimaçant face à la douleur aux propos de son ami et y répondit sans attendre :
- Ouais, j'ai toujours rêvé de chevaucher un vélociraptor, je te l'avais jamais dit ?
Quand à savoir ce qu'il avait foutu, la réponse était facile : il avait merdé voilà tout. Owen laissa sa place à l'infirmier qui s'assura de l'état de sa nuque et de son dos avant d'envisager de le transporter à l'intérieur pour plus de sécurité, surtout s'il restait du raptor à l'extérieur. Glissant une petite lampe de poche devant ses yeux, il confirma qu'on pouvait le déplacer. Visiblement, en dehors du choc et de l'entaille sur son avant-bras, rien n'était cassé. Heureusement d’ailleurs qu'il avait eu le réflexe de se protéger le visage, sinon, à l'heure qu'il était, son visage aurait été défiguré à vie. Porter ou Potter l'aida à se déplacer et il s'installa assis à même le sol contre le mur à l'intérieur du bâtiment, non loin de l'entrée. L'infirmier procéda au nettoyage de la plaie pour voir l'étendue des dégâts et annonça presque joyeusement 10 points de suture. Bordel. Voilà qui allait sérieusement l'handicaper pour la suite des événements. Après une rapide anesthésie locale, l'homme s'affaira. Porter ou Potter était retourné à l'extérieur, reprendre son poste.
- C'était plutôt impressionnant je suppose ? demanda l'infirmier, qui n'avait rien vu de l'attaque. - Ouais, comme un dinosaure carnivore qui te saute dessus pour te bouffer. Tu le vois venir mais, c'est trop rapide pour ton cerveau. T'as le droit qu'à un seul mouvement. Un seul. Avant j'avais de meilleurs réflexes, soupira Julian. Le type sourit, compréhensif. Il haussa les épaules en préparant son fil et son aiguille . - Ouais, possible. Est-ce qu'il n'y aurait pas aussi une part de chance ? Ces créatures seront toujours plus fortes que nous pas vrai ?
Julian hocha la tête. L'infirmier avait probablement raison et Julian se demanda si sa chance n'avait pas tournée. Il se laissa soigner sans moufter, le type était doué. En un temps record, sa plaie était recousé, son avant bras bandé. Il était presque à nouveau opérationnel, presque, parce que dans son esprit, cette attaque et sa chance envolée commençaient à le ronger.
Equipement:
Une tenue militaire = treillis kaki+ t-shirt noir manche courte + casque. - Un gilet renforcé en fibre de carbone pour les chocs qui permet aussi de stocker le petit matériel ( barre protéinée, sifflet, kit de premiers secours, corde.Attachée à l'enceinte - Un fumigène, une flashbomb, un talkie-walkie longue portée connecté via un casque pour garder le contact avec le bateau et ses coéquipiers en main libre. - Une balise GPS sous forme de patch posé au niveau de la poitrine directement sur la peau qui relève les constantes vitales. - 3 armes : un fusil à fléchettes hypodermiques avec une dose + 1 dose supplémentaire en munition + Glock23 en harnais au niveau de l'épaule + 2 chargeurs de 13 munitions et 1 couteau militaire à la ceinture. - Téléphone perso dans la poche.
Je ne sais pas si je dois lui en mettre une, le secouer ou l'insulter. Comme à son habitude, Julian tente de dédramatiser la situation et je crois que si je ne l'aimais pas autant, je lui aurais déjà mis mon poing dans la tronche pour lui remettre les idées en place. Au lieu de ça, je me contente de lui coller un coup dans son bras valide avant de faire signe à quelques uns de venir me donner un coup de main pour qu'on le transporte en sécurité.
- Navré de te décevoir mais tu t'y es pris comme un pied !
Très vite, on se retrouve tous à l'abri, à l'intérieur de la bâtisse, non loin de l'entrée, juste au cas où. Je prends une profonde inspiration et alors que je laisse Julian aux bons soins de l'infirmier qui fait rapidement son travail. J'observe tous, à la recherche d'un détail, d'un petit quelque chose qui pourrait me faire savoir qu'elle est là... mais je ne trouve rien... je ne trouve rien et pourtant, une partie de moi la sent. Je suis convaincu qu'elle n'est pas loin de notre position... La rencontre est pour bientôt... ce n'est plus qu'une question de minutes. Dernière moi, j'entends Blake qui fait savoir qu'il n'a plus les mêmes réflexes qu'avant. Sans un mot, je me tourne vers lui et croise les bras sur mon torse alors que l'infirmier prépare le matériel de couture.
- Rassure moi, tu ne vas quand même pas tomber dans les vappes maintenant hein ?!
Je m'appuie contre le mur, jette un coup d'oeil à ma montre et pousse un soupir avant de passer la main sur mon visage.
- Qui pour un tour ? On ne va pas attendre ici à se morfondre pendant que Minus et Cortex remettent le courant.
Je regarde tour à tour toutes les personnes présentes, attendant des volontaires pour reprendre ma petite visite des locaux.
- Alors ?
Equipement:
- Un pantalon cargo kaki et un T-Shirt manches courtes beiges + oreillette - Un gilet renforcé en fibre de carbone pour les chocs, qui contient une barre protéinée, gourde, un sifflet, un kit de premier secours et un petit couteau de survie et son talkie walkie relié par Bluetooth à son oreillette. - Un sac à dos contenant : Un fumigène, une flashbomb, un scanner de balises pour tenter de lire les puces sur les dinosaures et un étui contenant 5 fléchettes supplémentaires : 3 dosées pour grands spécimens, 2 pour petits et deux boîtes de cartouches pour le Marlin. - Balise GPS - Fusil à fléchette hypodermique chargé pour petit spécimen. - L'éternel fusil Marlin - Tablette numérique de petite taille fixée à son avant-bras gauche qui lui sera utile pour transmettre immédiatement les données liées aux dinosaures. - Le clicker utilisé lors du dressage des raptors
Owen l'avait charrié, comme d'habitude et Julian avait rétorqué, comme d'habitude. Ceux qui découvraient le duo semblaient surpris, les autres avait ce sourire en coin, témoin d'une complicité qui faisait un bien fou dans ces moments où la tension était à son comble.
- Dans les vappes ? avait renchéri l'agent de sécurité, seulement si c'est toi qui vient m'éveiller. Même l'infirmier avait ri avant de lui coller une seringue en sous cutanée pour anesthésier la zone de soin. Sans broncher, il s'était laissé soigner. On lui avait en plus donné un anti-douleur, alors passé le choc, autant dire qu'il se sentait frais comme un gardon. Owen s'impatientait et Julian se doutait bien que maintenant que le dresseur savait qu'il y avait au moins un vélociraptor dans le coin, il souhaitait partir à la découverte des autres. Julian ne voulait pas le laisser y aller seul, surtout qu'il connaissait ses vraies intentions. Comme il demandait qui était partant pour un tour, il lui lança : - Donne-moi 10 minutes et je t'accompagne.
L'infirmier le regarda, stupéfait de le savoir si enclin à repartir en première ligne. - Je ne suis pas sûr que... - Que quoi ? C'est bon, les points sont presque finis, j'ai des antidouleurs et oh surprise, un deuxième bras valide.
Julian souriait, goguenard, la douleur complètement endormie par les comprimés. Il agita les doigts de son bras valide. L'espace d'un instant, il eut la sensation d'être à nouveau à Melbourne, ces soirs où l'alcool le rendait téméraire et déterminé à se jeter dans la gueule du loup. Aujourd'hui c'était un peu pareil, sauf que le loup portait des écailles. Peu lui importait, le déluge chimique dans son sang lui donnait des ailes.
Equipement:
ne tenue militaire = treillis kaki+ t-shirt noir manche courte + casque. - Un gilet renforcé en fibre de carbone pour les chocs qui permet aussi de stocker le petit matériel ( barre protéinée, sifflet, kit de premiers secours, corde.Attachée à l'enceinte - Un fumigène, une flashbomb, un talkie-walkie longue portée connecté via un casque pour garder le contact avec le bateau et ses coéquipiers en main libre. - Une balise GPS sous forme de patch posé au niveau de la poitrine directement sur la peau qui relève les constantes vitales. - 3 armes : un fusil à fléchettes hypodermiques avec une dose + 1 dose supplémentaire en munition + Glock23 en harnais au niveau de l'épaule + 2 chargeurs de 13 munitions et 1 couteau militaire à la ceinture. - Téléphone perso dans la poche.
Forcément que Julian veut venir. Forcément qu'il veut m'accompagner avec un seul bras valide et à en croire le coup d'oeil que l'infirmier lui lance, ce dernier n'approuve pas vraiment cette option. Il me jette un regard espérant trouver un peu d'appui et de soutien pour freiner Julian mais au lieu de ça, il n'a qu'un sourire en réponse et un haussement d'épaule.
- C'est une bourrique. En vrac ou pas, il viendra quand même. Je marque une pause, fixe Julian et esquisse un immense sourire. - Sauf si tu lui colles une dose de cheval pour l'endormir.
Je laisse échapper un rire avant de me tourner vers la direction que je veux prendre. J'attends quelques minutes que Julian soit opérationnel et une fois chose faite, je m'adresse à ceux qui vont rester ici.
- On reste en contact radio. Personne ne part de cette pièce compris ? Ils sont encore probablement dans les parages et ils attendent qu'une seule, que l'un d'entre vous aille pisser dehors. Alors pas de pipi dehors compris ?
Je me tourne ensuite vers Julian et lui adresse un signe de la tête.
- C'est bon pour toi ?
Et une fois certain que Julian est opérationnel, on se met en marche tous les deux, empruntant un long couloir. Je suis bien décidé à trouver des traces de Blue et je ne compte pas quitter cet endroit tant que je ne suis pas convaincue de sa présence ou pas.
- Promis, quand on rentre, je te paie un verre de whisky.
Equipement:
- Un pantalon cargo kaki et un T-Shirt manches courtes beiges + oreillette - Un gilet renforcé en fibre de carbone pour les chocs, qui contient une barre protéinée, gourde, un sifflet, un kit de premier secours et un petit couteau de survie et son talkie walkie relié par Bluetooth à son oreillette. - Un sac à dos contenant : Un fumigène, une flashbomb, un scanner de balises pour tenter de lire les puces sur les dinosaures et un étui contenant 5 fléchettes supplémentaires : 3 dosées pour grands spécimens, 2 pour petits et deux boîtes de cartouches pour le Marlin. - Balise GPS - Fusil à fléchette hypodermique chargé pour petit spécimen. - L'éternel fusil Marlin - Tablette numérique de petite taille fixée à son avant-bras gauche qui lui sera utile pour transmettre immédiatement les données liées aux dinosaures. - Le clicker utilisé lors du dressage des raptors
Julian pouvait compter sur Owen. Un nouveau sourire amusé s'afficha sur ses traits lorsque ce dernier le traita de bourrique. Têtu ça oui, il l'était. Téméraire aussi et impulsif. Tout pour se jeter dans la gueule du loup. L'infirmier hésita un instant à l'évocation de la dose de cheval. Son regard se posa sur Julian, puis sur Owen et à nouveau sur Julian. C'était une plaisanterie n'est-ce pas ? Julian éclata d'un rire franc et tapota l'épaule de l'infirmier de son bras valide.
Il se redressa, et ignora le décor qui tanguait légèrement. - C'est pas une bonne idée, renchérit l'infirmier. Julian haussa les épaules. - J'en assumerai l'entière responsabilité.
Il était hors de question qu'il laisse Owen explorer seul les lieux. À l'intérieur, ils ne risquaient pas grand-chose de toute façon, le danger était clairement dehors. Laura lui en voudrait surement, il devrait se faire pardonner. Sa volonté se banda autour de cette seule idée : rentrer en un seul morceau, limiter les dégats.
- C'est tout bon, répondit l'agent de sécurité.
Tous deux se mirent en route après que Julian ait vérifié à nouveau son équipement. Il testa le talkie et emboîta le pas de Owen. Ensemble, ils pénétrèrent dans un long couloir qui menait certainement à la station météo. Les électriciens en avait pour une bonne heure, cela leur laissait un peu de temps. Comme Owen lui promit un verre de whisky dès leur retour, Julian pouffa et rétorqua : - J'aime pas ça et puis, je ne bois plus d'alcool.
Avait-il besoin de savoir que sa descente aux enfers était passée par l'alcoolisme ? Peut-être pas maintenant. - Un soda m'ira très bien je te remercie.
Le silence les accompagna un moment. Avec l'obscurité ambiante, Julian regretta de ne pas avoir pris de maglite. - T'as reconnu le raptor dehors ? Ôte-moi d'un doute mais...il ne faisait pas parti du groupe de Blue si ? Je sais bien que ça fait quatre ans et que, je ne les voyais pas tous les jours mais...celui là ne me dit rien du tout.
Une fois Julian sur pieds, on se met en route, tous les deux. Arme en mains, j'avance, suivi de prés par Julian. Je ne dis rien, reste silencieux alors que mon regard balaie toutes les zones qu'on traverse. Preuve que ça ne va pas, que je n'ai pas la tête à ça, lorsque Julian me fait savoir un soda ira très bien parce qu'il ne boit plus, je ne dis rien, même pas une seule remarque. A la place, je jure entre mes dents.
Dans ma tête, ça tourne à mille à l'heure et je me pose tout un tas de question.... Ce qu'il s'est passé avec Leanne, l'annonce de la grossesse et l'ensemble d'un peu de tout... je suis fatigué moralement et physiquement et je réalise que non, cette île ne nous fichera jamais la paix... elle sera toujours là pour empoisonner nos vies peu importe ce qu'on fait.
La voix de Julian me fait sortir de mes pensées lorsqu'il me demande si j'ai reconnu le raptor qui l'a attaqué. Je secoue la tête négativement, toujours en regardant autour de moi alors que nous progressons lentement.
- Je ne le connais pas celui-là.. et c'est bien ce qui me fait peur.
Pas besoin d'être un grand scientifique pour comprendre que les raptors se sont reproduits... et que du coup, maintenant, on n'a plus aucune idée de leur nombre sur cette île.
- Bordel, j'ai intérêt de revenir vivant sinon j'en ai une qui va me tuer.
Owen semblait perdu dans ses pensées, ses traits étaient tirés et Julian savait que ce n'était pas lié qu'au stress de la situation. S'il restait encore deux raptors dehors, la sortie de toute l'équipe ne serait pas de tout repos. Surtout que la perte d'un élément avait dû semer le trouble dans le groupe de sauriens. Peut-être que leur comportement en serait altéré. Les couloirs défilaient, seulement éclairés par quelques fenêtres recouvertes de végétation humide. Lianes et feuilles offraient une luminosité spéciale, presque fantomatique. Les deux hommes marchaient en silence jusqu'à ce que Julian interroge l'animalier sur le raptor qui dormait dehors. La réponse de Owen ne le rassura pas. Comment pouvait-il ignorer l'origine de ce velociraptor ? Anesthésié par les anti-douleurs, Julian avançait, à l'affut du moindre mouvement suspect. Bordel, j'ai intérêt de revenir vivant sinon j'en ai une qui va me tuer.
Un nouveau sourire étira les lèvres de l'agent. - Si t'es déjà mort, tu ne risques pas grand-chose.
Reprenant son sérieux, il ajouta : - Mais on va rentrer vivant ouais.
Lui aussi le devait. Quelque chose lui disait que Laura ne le lui pardonnerait pas. Il l'imaginait aisément en ce moment même, angoissée à l'idée qu'il soit blessé. Même s'il était désolé pour elle, c'était aussi ça, les risques du métier. Elle le savait. Un bruit métallique attira son attention et il jeta un coup d'oeil vers Owen avant de lui montrer du menton une porte entrouverte. Fusil en main, il poussa la porte du canon et chercha à voir s'il y avait un danger avant d'entrer, plaqué contre le mur. La pièce semblait vide, en dehors du matériel de la station, c'est-à-dire quantité de machines dont il n'avait pas la moindre idée de l'utilité. Évidemment, rien ne fonctionnait (échec des dés chance). Après avoir effectué un rapide état des lieux, il regagna le couloir et continua sa ronde jusqu'à la prochaine pièce.
équipement:
Compte tenu de sa blessure, malus de -2 en agi, force et tir si cela concerne son bras) Une tenue militaire = treillis kaki+ t-shirt noir manche courte + casque. - Un gilet renforcé en fibre de carbone pour les chocs qui permet aussi de stocker le petit matériel ( barre protéinée, sifflet, kit de premiers secours, corde.Attachée à l'enceinte - Un fumigène, une flashbomb, un talkie-walkie longue portée connecté via un casque pour garder le contact avec le bateau et ses coéquipiers en main libre. - Une balise GPS sous forme de patch posé au niveau de la poitrine directement sur la peau qui relève les constantes vitales. - 3 armes : un fusil à fléchettes hypodermiques avec une dose + 1 dose supplémentaire en munition + Glock23 en harnais au niveau de l'épaule + 2 chargeurs de 13 munitions et 1 couteau militaire à la ceinture. - Téléphone perso dans la poche.
Je suis tellement en boucle sur ce qu'il vient de se passer, sur le fait que ce dinosaure est complètement inconnu pour moi, que je n'entends même pas Julian faire une remarque sur le fait que si je meurs, je ne risquerais pas grand chose. L'oeil à l'affût, l'arme prête à viser si jamais, je continue d'avancer dans le dédale de couloirs. Je prends une profonde inspiration, tente de calmer mes nerfs pour éviter de virer complètement taré et m'arrête quelques secondes histoire de faire le vide dans ma tête pour repartir sur des bases plus saines. Au même moment, j'entends Julian qui m'affirme que oui, on va rentrer vivant et je ne peux pas m'empêcher de lui adresser un sourire pour le remercier.
- On connaît ces bestioles, on sait de quoi elles sont capables... Soyons plus intelligents qu'elles et tout ira bien ok ?
Bon d'accord, c'est plus pour me rassurer moi mais peu importe... Il y a une part de vrai dans ce que je dis après tout non ? Il faut qu'on soit plus malin. Alors qu'on continue d'avancer dans les couloirs, un bruit métallique se fait entendre un peu plus loin, dans une autre pièce. Avec Julian, on se regarde tous les deux et très vite, on s'accorde pour savoir qui fait quoi.
Une fois proches de la porte, Julian s'occupe de pousser la porte entrouverte avec le canon de son arme et une fois à l'intérieur, rien. Pas un seul mouvement alors qu'un peu plus tôt, ils avaient entendu du bruit.
- Ouais alors à moins que cet endroit soit hanté, reste sur tes gardes...
Et sans attendre, je continue de regarder, de chercher tout ce que je peux pour nous aider... Une petite piste, un petit quelque chose qui pourrait me mettre sur la trace de Blue.... Mais rien... comme si elle n'était passée là alors que je sais, je sens qu'elle n'est pas loin... Je pousse un râle et viens donner un coup de pied dans une poubelle qui se trouvait non loin d'un bureau.
[impair au lancé de dé, Owen fait chou blanc dans ses recherches]
Equipement:
- Un pantalon cargo kaki et un T-Shirt manches courtes beiges + oreillette - Un gilet renforcé en fibre de carbone pour les chocs, qui contient une barre protéinée, gourde, un sifflet, un kit de premier secours et un petit couteau de survie et son talkie walkie relié par Bluetooth à son oreillette. - Un sac à dos contenant : Un fumigène, une flashbomb, un scanner de balises pour tenter de lire les puces sur les dinosaures et un étui contenant 5 fléchettes supplémentaires : 3 dosées pour grands spécimens, 2 pour petits et deux boîtes de cartouches pour le Marlin. - Balise GPS - Fusil à fléchette hypodermique chargé pour petit spécimen. - L'éternel fusil Marlin - Tablette numérique de petite taille fixée à son avant-bras gauche qui lui sera utile pour transmettre immédiatement les données liées aux dinosaures. - Le clicker utilisé lors du dressage des raptors
La pièce était vide, en dehors du matériel inutilisé. La frustration se mêla au soulagement de ne pas avoir croisé de nouveau danger. Owen avait raison, il fallait être plus malin que les dinosaures, plus agile aussi visiblement. Son bras ne lui faisait pas encore mal grâce à la dose que l'infirmier lui avait collée dans le sang, toutefois, il sentait le poids de sa chair endormie. C'était désagréable et il espérait être de retour auprès de l'infirmier pour la prochaine dose avant que la douleur ne se réveille. Les points n'étaient pas à proprement douloureux, c'était plutôt de forcer dessus qui pouvait réveiller des souffrances. Ceci étant dit, il n'aurait pas le choix si la situation l'exigeait. Hochant la tête aux paroles de l'animalier, Julian se raidit lorsque Owen donna un coup qui envoya valser la poubelle plus loin dans un bruit tonitruant.
- Si tu pouvais éviter de nous faire repérer, ça serait cool, lança-t-il en lui tapotant l'épaule.
Owen était aussi impulsif que lui, voilà qui promettait. Cependant, Julian avait depuis le temps cultivé un sang-froid face aux situations compliquées. Restait à savoir ce qu'il en restait après ces quatre années. - On continue, proposa-t-il avant de quitter la pièce pour regagner le couloir.
La plupart des pièces étaient fermées et dans les autres, rien ne fonctionnait. Le courant ne tarderait plus, peut-être qu'il valait mieux attendre ici au niveau de la station météo ? - On en est où en bas ? demanda alors Julian au talkie, à destination de l'équipe au sous-sol, chargée de remettre l'électricité en route.
équipement:
Compte tenu de sa blessure, malus de -2 à agi, force et tir si cela concerne son bras) Une tenue militaire = treillis kaki+ t-shirt noir manche courte + casque. - Un gilet renforcé en fibre de carbone pour les chocs qui permet aussi de stocker le petit matériel ( barre protéinée, sifflet, kit de premiers secours, corde.Attachée à l'enceinte - Un fumigène, une flashbomb, un talkie-walkie longue portée connecté via un casque pour garder le contact avec le bateau et ses coéquipiers en main libre. - Une balise GPS sous forme de patch posé au niveau de la poitrine directement sur la peau qui relève les constantes vitales. - 3 armes : un fusil à fléchettes hypodermiques avec une dose + 1 dose supplémentaire en munition + Glock23 en harnais au niveau de l'épaule + 2 chargeurs de 13 munitions et 1 couteau militaire à la ceinture. - Téléphone perso dans la poche.
