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Intrigue - Groupe 2 (28/02/2013)
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INTRIGUE DE RP - GROUPE 2




GROUPE ANIMALIERS ET SECURITÉ



Le contexte pour le groupe 2

Alors que la journée avait bien commencé, que chacun menait à bien son travail comme il le faisait jour après jour, un message résonnant en boucle dans tous les hauts parleurs du parc a commencé à semer la panique.

_ Ici Claire Dearing, message important à l'attention de tous les employés. Un ouragan se dirige vers nous et sera là d'ici deux heures. Il est demandé à tout le monde de se rendre à l’hôtel pour rejoindre l'abri sous-terrain le plus vite possible et dans le calme. Ceci n'est pas un exercice, je répète, ceci n'est pas un exercice.

Un ouragan, voilà qui était bien dangereux. Malheureusement pour vous, un appel à l'aide de l'équipe de construction avait été envoyé avant le message de la directrice car les fondations d'un enclos en construction dans le centre du parc menaçaient de s’effondrer à cause du vent. Vous avez donc eu à choisir entre vous mettre à l'abri et tout laisser tomber, où aider à consolider la construction avant que l'ouragan ne vienne tout emporter.

___________________

A savoir

Il y a déjà beaucoup de vent mais pas encore de pluie, ce qui est moins catastrophique que prévu. Les constructions sont assez lourdes, faites de bois, de métal et de pierre. Il s'agit d'un enclos carnivore, donc de très hautes barrières en bois pour accueillir plus tard d'épaisses vitres, des parpaings pour faire les murs, des barres métalliques pour faire la structure.... N'hésitez pas à vous mettre à plusieurs pour porter ^^ Il y a des engins pour porter les plus grosses poutres, mais le vent les rend beaucoup moins faciles à manipuler.
L'enclos se situe à côté de la gare du tram.


Mer 28 Fév - 17:48
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• Quelques mois après l'arrivée d'Ingrid •
Intrigue - Groupe 2
Participants & Ingrid Powell

------------

J'étais déjà en route. Pour contrôler ma direction et éviter de dévier du chemin de terre battue, je serrai mon volant de toutes mes forces. Tellement fort que mes jointures en devenaient blanches. Ma Jeep prenait des airs de bolide mais je voulais arriver le plus tôt possible.
Je n'étais certes, pas habilitée à faire de la maçonnerie, mais je pouvais tout de même offrir mon aide sur autre chose. Je ne suis pas du genre à inspecter les travaux finis. D'autre part, j’imaginais les pauvres agents sous ce vent démentiel et des nouveaux bras -même aussi petits que les miens- seraient sans doute les bienvenus.

Puis, les hauts-parleurs, disséminés dans tout le parc résonnèrent. C'était Claire, et elle n'avait pas la voix de quelqu'un qui souhaitait prendre le thé. Par définition, un message diffusé de la sorte avait de grandes chances d'être relatif à une urgence. Et, celui-ci n'échappait pas à la règle.
D'un mouvement brusque, je fis un dérapage et m'arrêtais quelques instants en-travers de la route. Dans le nuage de poussière que j'avais crée, je réfléchissais rapidement. Un ouragan, sérieusement ? Comme si les dinos en pâturage ne suffisaient pas ! Powell, qu'allais-tu faire ?
C'était un ordre formel et clair. Et je n'avais pas pour habitude de désobéir et me rebeller. Mais d'un autre côté, je pensais aux agents qui n'avaient peut-être pas entendu (je savais la zone difficile de fréquence). Le dilemme grandissait dans ma tête. Oh et puis tant pis ! Deux heures...elle avait dit deux heures. Cela me laissait grandement le temps de faire l'aller-retour pour au moins les prévenir. C'est ce que tout bon agent de sécurité ferait. Je ne pouvais pas les laisser avec cette tempête qui s'annonçait.

Ni une, ni deux, je repartis en trombe direction la gare du tram. Les enclos se trouvaient juste derrière.

Je claquais la porte et luttais légèrement pour atteindre l'entrée du chantier. Effectivement, ils n'étaient que quelques-uns et ils ne semblaient pas préoccupés par l'urgence de la situation. Je regardais alentours. J'étais la seule ? Pourtant tout le service avait reçu cet appel....

CODE BY ÐVÆLING



Jeu 1 Mar - 10:22
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On pouvait dire qu'à force tu avais pris tes habitudes. Cela faisait maintenant plusieurs semaines que tu étais sur le parc et tu avais terminé les différents stage dans les différents service. Etant apprentie, tu ne pouvais pas choisir le service que tu souhaitais mais, il y en avait plusieurs que, tu avais apprécié et tu aimais navigué entre les différents endroits. Tu pensais ta journée terminé lorsqu'un message dans les haut parleurs t'interpella. Tu te stoppais dans le couloir qui menait au vestiaire et tu écoutais le message de Claire Dearing qui indiquait qu'un ouragan était entrain de se diriger vers vous. Dans deux heures vous alliez connaître un épisode de catastrophe naturelle intense. Tu n'avais jamais vraiment eu l'occasion de connaître ce genre de chose et un petit stress te prit dans le coeur. Tu allais rapidement dans le vestiaire pour récupérer tes affaires et ainsi partir vers l'hôtel pour rejoindre l'abri quand, un collègue fit son apparition te faisant sursauter au passage. "Désolé Jordan mais, tu vas pas pouvoir te rendre tout de suite à l'abri...On a reçu un appel. Il faudrait qu'on aille tous dans le centre du parc car, les fondations d'un enclos menacent de s'effondrer...ça te dérange pas ?" Tu secoue la tête. "Non pas de soucis, j'y vais." Tu enfile ta veste avant de mettre ton sac en bandoulière et de partir rapidement pour rejoindre de le centre du parc. Tu ne sais pas trop à quoi t'attendre au niveau de la météo et tu comprend vite que, ça ne va pas être de la rigolade. Le vent est déjà bien présent et tu le sens qui te pousse dans le dos. Tu finis par te mettre à courir pour rejoindre le lieu des travaux remarquant tout de même une certaine tension chez certaines personnes qui prennent la direction de l'hôtel. Tu aurais pu faire pareil et laisser les autres se débrouiller mais, tu n'es pas de ce style. Tu te stoppe un petit instant devant l'enclos du T-Rex et tu regards les grands arbres qui se balancent de gauche à droite. Tu fronce un peu les sourcils en apercevant la grande silhouette du dinosaure et tu file vers la zone de travaux. Tu espère intérieurement que, les barrières des différents enclos va tenir le coup et qu'aucun dinosaure ne sera blessé pendant cet ouragan.

Tu finis enfin par arriver à destination et une personne semble plutôt surprise de te voir. "On m'a dit de venir vous donner un coup de main pour les fondations." Il hoche la tête avant de t'expliquer un peu plus les choses. "Je ne pensais que, tu serais parmi nous...Je m'attendais à voir uniquement des titulaires et non une apprentie mais, c'est sympa à toi. On va devoir consolider les fondations si, on ne veut pas que ça s'écroule pendant l'ouragan." Tu hochais la tête avant de le suivre plus proche des travaux. Il te montre les différentes poutre et parpaing qui servent à la construction de l'enclos. Tu lève les yeux et tu comprends bien vite qu'il s'agit d'un enclos pour carnivore. Tu ne sais pas vraiment si, tu vas être très utile pour cette opération mais, tu ne peux te résoudre à les laisser se débrouiller seuls. Tu regard autour de toi et vous n'êtes pas nombreux, tu espère que d'autre personnes vont venir vous porter main forte. "Je vais faire ce que, je peux pour me débrouiller toute seule pour le moment en attendant d'autre personnes." Tu souris un peu au maître d'oeuvre qui semble un peu stressé par tout ceci. Avant de prendre la direction des parpaing. Tu sais que, ça pèse lourd mais, pour le moment, tu es en mesure de te débrouiller toute seule. Tu pose tes mains sur un côté du parpaing en béton et tu le fais rouler par terre. Les choses risque d'être un peu plus compliqué que prévu et tu risque de mettre un certains temps. Tu prends sur toi et tu fais glisser l'objet sur le sol heureusement que la terre est plutôt meuble et te permet de faire glisser le parpaing sans difficulté.
Codage par Libella sur Graphiorum


#color: 996699
Mar 6 Mar - 18:33
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INTRIGUE - GROUPE 2
Animaliers & Sécurité & Cassidy
Depuis le début de l’après-midi, Cassidy se baladait dans les allées du parc, son appareil photo dans les mains. Depuis qu’elle était arrivée sur l’île, c’était son petit rituel. Etant gardienne de nuit, elle se reposait tout le reste de la matinée et sortait les après-midi, appareil photo sous le bras pour immortaliser les moments qu’elle passait sur le parc. C’était son passe-temps favori depuis son adolescence et elle n’a jamais perdu cette passion pour la photographie en grandissant.

Ce jour-là, Cassidy s’était aventurée dans le coin des fouilles et on entendait régulièrement le cliquetis de son appareil photo. Elle zoomait et prenait une photo, dézoomait et reprenait une nouvelle photo. Elle visionnait la quarantaine de photos qu’elle avait pu prendre depuis qu’elle était sur ce secteur quand elle entendit la voix de Claire Dearing dans les hauts parleurs. Un ouragan se dirigeait vers l’île et elle demandait à tout le monde de se rendre dans les hôtels. Ni une, ni deux, Cassidy rangea toutes ses affaires dans son sac et allait se diriger vers les hôtels quand elle aperçut de l’autre côté qu’il y avait toujours du mouvement. Peut-être n’avaient-ils pas entendu le message ?

La jeune femme courut pour les prévenir du danger mais à son arrivée sur les lieux, elle découvrit en réalité qu’ils étaient tous en train de s’activer pour consolider ce qui serait par la suite un enclos d’un carnivore. Cassidy hésita à se rendre à l’hôtel, ne sachant pas quelle aide elle pourrait leur apporter, étant loin d’être une bricoleuse hors pair. Elle fit demi-tour et avança de quelques mètres en direction des hôtels quand elle s’arrêta. Après tout, ils pourraient peut-être avoir besoin de bras pour porter des choses, maintenir ou même scier. Elle repartit en direction de l’enclos.

« Je peux vous aider ? »

Un ouvrier lui montra une pile de parpaing qu’il fallait amener jusqu’aux fondations pour tout consolider. Elle s’y dirigea et reconnu Jordan qui était déjà sur les lieux.

« Jordan ! Attends, je vais t’aider. »

Les deux jeunes femmes iraient sans doute plus vite à prendre les parpaings toutes les deux pour les déplacer jusqu’aux fondations. Le temps leur manquait et le vent qui soufflait de plus en plus ne les aidait pas non plus.
(c) DΛNDELION
Mer 14 Mar - 0:54
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INTRIGUE - GROUPE 2
Animaliers & Sécurité
"Aie ! Mais pourquoi tu me mords encore les doigts toi ? On t'a jamais dit qu'il fallait pas mordre la main qui te nourrie ? Et on se demande pourquoi ton espèce a disparut !" Dis-je au tout jeune bébé Raptors que je nourris. Tu parle d'une idée aussi les nourrir avec les mains ! Mais c'est tellement adorable. Je vous jure, voir ses petites ratounnes attraper la viande, sentir parfois un bout de langue vous lécher les doigts même si ça me vaut quelques traces de dents, pour rien au monde je m'en priverais. Une fois finis de le nourrir, je remet vite le petit bébé sous la lampe chaude. Il est encore trop petit pour supporter le froid trop longtemps. Un coup d’œil par la fenêtre de la nurserie et je m’aperçois que dehors la tempête commence sérieusement à être terriblement forte ! Si je continue à m'attarder, je vais devoir dormir sur le sol de mon labo et franchement c'est pas vraiment ce qu'il y a de plus confortable. Je range alors avec soin dans le frigo la nourriture de mes bébés, j'emballe ensuite à la va vite toutes mes affaires et alors que je m'apprête à sortir et à retourner à l'hôtel, la douce voix de Claire  Dearing raisonne dans les hauts parleurs. "Bordel mais non pas ce soir quand même ?" Et bien si, un des enclos en construction menace de s’effondrer et de l'aide et requise pour les aider à consolider l'enclos. Je soupire en me dirigeant finalement parka sur le dos et capuche sur la tête vers l'enclos en question.

Une fois sur place je me rend alors compte de l'étendu des dégâts. Hommes et femmes travail de concert pour rassembler et placer des parpaings, scier, souder, ajouter du barbelet et tout ce qui s'en suit   pour éviter à l'enclos du prédateurs de s’effondrer entièrement. Mais dans quoi je suis allé me foutre moi ?
Tout ce que j'avais à faire s'étais de rentrer sagement à l'hôtel ! Mais pourquoi est ce qu'il faut toujours que je veuille jouer les samaritains moi ? Si ça se trouve personne m'a vue ? J'ai cas repartir ? Puis mes yeux se posent alors sur ma parka de pluie de couleur jaune poussin ! Mouais ! Disons qu'avec ça sur le dos je ne risque surement pas de passer inaperçue ! Je suis sur que même le dinosaure dans son enclos m'a déjà repérer comme potentiel dîner si l'enclos s’effondre ! Et merde ! "Humm, humm... Je peux peut-être vous aider ? Je ne suis pas douer pour le bricolage, mais je peux porter des choses alors si besoin demander moi." Espérons qu'ils me disent qu'ils ont besoin de rien et je file à l'anglaise ! Manque de chance, une femme m’entraîne au milieux des parpaings et me voilà entrain de porter et d'assembler comme les autres !
(c) DΛNDELION


Ian Harving # color = Darkcyan
Jeu 15 Mar - 18:29
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Agent d'Intervention Alpha

Julian Blake

Feuille de personnage
Stats:
StatsCompétenceCompétenceNiveauNiveau
11Force 12
22Agilité10
33Tir8
44Adrénaline10

Inventaire:
Julian Blake
Julian se redressa assis dans l'herbe. Toujours en pause, il écouta néanmoins le message que le talkie accroché à sa ceinture crachait. Un problème à l'un des enclos  de carnivores, pas loin de l'accès au tram.
Il regarda sa montre, puis leva le nez au ciel observant quelques instants les nuages. Ceux-ci avançaient vite, un peu trop vite à son goût. Déjà le vent battait les arbres et ses cheveux lui fouettaient le visage en s'agitant en tous sens. Il y glissa une main pour tenter de discipliner l'ensemble, en vain. Agacé il abandonna et se leva puis il rajusta sa tenue et s'assura que ses armes étaient toujours là, chacun bien à sa place.
Peut-être devait-il aller aider les ouvriers de l'enclos ? Il n'en avait clairement pas envie, après tout il n'était pas payé pour ça, à la place il poursuivrait sa ronde peinard et s'assurerait que son équipe se tienne à carreau. Il les avait envoyé balayer le secteur du port et aux dernières nouvelles, la zone était en mode RAS.
Son Talkie crachota à nouveau, il captait mal et le tira de son étui pour le porter plus près de son visage. Derek lui indiquait que le vent s'était levé sur le port et que les arbres commençaient à plier. Le vent leur imposait de faire demi-tour sans tarder. Comme un écho à cette nouvelle, les haut-parleurs du parc se mirent à grésiller et sans peine, il reconnut la voix de Claire Dearing qui les sommait de retourner à l’hôtel dans les abris sous-terrains. A nouveau, il observa le ciel puis les arbres qui commençaient à se déchaîner. Les ouvriers étaient en danger. Les deux heures seraient trop vite avalées par cet ouragan affamé.

Ni une ni deux, il sauta dans son véhicule et prit la direction des enclos. Il n'était pas si loin et à son arrivée, il découvrit l'étendue du travail et la main d'oeuvre employée. Des hommes, des femmes plus ou moins jeunes, certains n'étaient clairement pas des ouvriers. Il s'en sentit agacé. A quoi jouaient-ils bon sang ? Un ouragan était sur le point de survoler l'Île, et ils jouaient les agents de chantier ?
Au milieu de tout ce chaos de mouvement et de matériel, il reconnut une chevelure rousse. Powell était là.
Il se débarrassa de sa veste légère, de ses armes les plus lourdes qu'il fourra dans son véhicule puis s'avança à son tour d'un pas rapide et décidé. Tout droit vers elle, la mine sombre, excédée.
Elle était sa supérieure et sa place n'était pas au milieu des barres de fer et des parpaings.

- Powell !
cria-t-il pour couvrir le vent qui forcissait en se dirigeant vers elle.

Dès qu'il fut à portée, il attacha ses cheveux qui le gênaient en une petite couette haute que le vent battait à son gré.
- Ces gens sont-ils tous prévenus ? (Il regarda sa montre) Dans une heure dernier délais, tout le monde doit avoir quitté la zone.

Il n'y avait pas une minute à perdre. Avait-elle donné les directives ? A voir tout le monde s'agiter il n'en était pas certain.
Jeu 15 Mar - 21:50
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• Quelques mois après l'arrivée d'Ingrid •
Intrigue - Groupe 2
Participants & Ingrid Powell

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Lorsque j'eus enjambé les quelques poutres éparses, je me dirigeais droit vers les hommes qui étaient à l'oeuvre. Rapidement, je les informais de la situation de crise que nous nous apprêtions à passer car, dans cette partie des enclos, les messages de diffusion ne passaient pas encore. Je fis des phrases courtes, et concises. Avec le vent qui nous fouettait le visage, je ne pouvais guère faire autrement.
Là, je me heurtais à un mur : les employés ne souhaitaient pas quitter le chantier. Pas avec la structure qui menaçait de s'effondrer. Je vis qu'il était inutile de discuter alors, devant l'urgence, je pliais. (Que l'on se souvienne de ce jour si rare! )
Bien sûr, je pouvais comprendre leurs motivations. Moi-même, je ne comptais pas revenir sur ma décision, aussi je me vis contrainte d'aider -avec mes minces ressources- à consolider les bases du bâtiment.

Durant le laps de temps où je m'étais entretenue avec les responsables, d'autres personnes étaient venues prêter main forte. Ayant eu la même réponse que la mienne, elles s'étaient mise en groupe pour déplacer les lourds parpaings qui gisaient là.
Pour ma part, il était clair que je ne pouvais laisser ces gens, si proche du cataclysme. Mon boulot était de veiller à la sécurité du personnel et c'est ce que je comptais faire. En plus de m'adonner à quelques travaux de manutention. Je me mis alors à l'oeuvre, retroussant mes manches (au sens propre comme au figuré) afin de m'octroyer plus de liberté de mouvement. Les charges étaient lourdes, mais j'y allais à mon rythme. Puis j'entendis crier dans mon dos :

• "Powell !"

Je me retournais brusquement. Blake. J'aurais dû m'en douter.
Il donnait l'impression d'être venu sous la contrainte, bien que cela ne fut sans doute pas le cas. Je ne le connaissais que très peu mais je le savais travailleur et serviable. Oui, malgré cette mine renfrognée qu'il nous présentait la plupart du temps. Comme maintenant d'ailleurs. Je haussais un sourcil en l'écoutant parler. Alors comme ça le jeune homme arrivait après tout le monde et voulait prendre les commandes ? Il voulait en imposer, le petit...
Au fond, je sentais qu'il doutait de moi et de mes capacités. Qu'il ne me croyait pas légitime à ce poste.
Je tiquais légèrement mais je savais que c'était dans son tempérament. Dirigeant une petite escouades d'agents, il avait l'habitude d'avoir les commandes. Mais pour l'heure, les rôles étaient inversés et j'avais horreur que l'on me prenne pour une enfant à me dire ce qu'il convenait de faire ou de dire.

• "Évidement, Monsieur Blake. L'ensemble du personnel présent est au courant de la situation, soyez rassuré." Je mis les mains sur les hanches, me redressant pour lutter contre les bourrasques. "Le fait est qu'ils ne veulent pas quitter les lieux sans avoir sécurisé la zone." Je passais ma main dans mes cheveux pour les ôter de mon visage.
"D'ailleurs à ce propos, peut-être pourriez-vous vous rendre utile ? Vous l'avez dit vous-même : Dans une heure tout le monde doit avoir quitté la zone. Je ne voudrais pas vous retenir..."

Je l'observais, la tête légèrement penchée sur le côté avant de désigner avec insistance la loure barre d'acier à nos pieds. Elle entravait le chemin et une fois écartée, nous pourrions sans doute accélérer le travail en usant des machines, garées sur le côté.

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Sam 17 Mar - 2:54
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Ouragan en marche
Intrigue de groupe

"Tommy faut qu'on y aille ! "

Tu relevas la tête de ton ordinateur où tu mettais à jour tes fichiers. Bien sûr, tu avais entendu l'appel à l'aide de l'équipe de construction concernant les fondations d'un enclos qui risquait de s'effondrer. Si cela venait à arriver, il faudrait tout recommencer et de ce fait, le temps allait manquer. Les animaux gardés en enclos de quarantaine manqueraient de place assez vite.
Tu sauvegardais ton travail et éteignais ton poste avant de prendre tes affaires et rejoindre ton collègue. Une fois dans la jeep, tu t'inquiétais des nuages sombres qui traînaient dans le ciel. Ce matin, rien n'aurait prédit de la pluie. Soudain, les hauts parleurs du parc te mirent sur la voie : un ouragan se préparait et tous devaient se mettre à l'abris.
Tes prunelles tombèrent sur ton collègue qui avait coupé le moteur, pas sûr de ce qu'il souhaitait faire.

"Tommy je....
-Ok c'est bon je sors.
-Tommy !"


Ton collègue, tu l'appréciai. Il manquait cependant un peu de courage et tu connaissais la chanson sans même l'avoir entendue : "tu sais j'ai des enfants, une femme à qui penser blablabla."  Tu lui jetas un dernier sourire avant de dire :

"Protège toi bien et veille sur Jordan."

Non tu ne lui en portais pas rigueur et tu t'en fichais si tu étais le seul à mettre ta vie en danger pour essayer de sauver l'enclos qui se construisait. Par contre, ce qui t'importait était que la petite stagiaire qui avait bossé avec vous soit en sécurité. Elle avait une famille qui comptait sur elle, elle aussi.

Après de longues et longues minutes de marche active, alors que la pluie commençait à tomber doucement, tu arrivas au chantier. Quel ne fut pas ta surprise de voir de que nombreux employés du parc étaient déjà là à s'affairer. Tu reconnus un collègue : Ian mais surtout tes prunelles tombèrent sur Jordan. Sans hésiter une seconde, tu t'avançais vers elle et parlais d'une voix forte et autoritaire, pour contrer le vent mais aussi parce que tu étais énervé de la voir ici.

"Jordan ! Tu fous quoi là ? Tu devrais aller te protéger !"

Ton coeur avait raté un battement lorsque tu l'avais vue et ton estomac c'était noué. Ici tu ne pouvais pas la protéger et si pour le moment l'ouragan n'était pas si important, sa force allait s'augmenter d'heure en heure et la présence de la stagiaire ici était dangereux pour elle.

propulsed by VANKA
Dim 18 Mar - 13:04
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C'était encore relativement calme mais, bientôt tu savais que ça allait être pire. Tu avais entendu l'appel à l'aide et tu avais décidé de venir en aide même après avoir entendu l'information de Claire Dearing. Il fallait dire qu'un de tes collègue t'avait encouragé à aider pour l'enclos. Tu aurais pu passer ton chemin et partir te réfugier dans l'abri mais, une petite voix intérieurs t'avait dis d'aider. Alors tu étais partie à l'enclos en construction, le vent soufflait déjà bien fort et tu avais été un peu inquiète en passant devant l'enclos du T-Rex. Tu avais laissé ton inquiétude dans un coin de ta tête pour te concentrer sur cette nouvelle mission. En arrivant, on t'avait rapidement expliqué ce que, tu devais faire. Vous deviez consolider et renforcer les fondations de l'enclos avec des parpaings. Tu avais remonté tes manches et tu étais partie vers les parpaings. Tu ne pouvais pas les soulever mais, tu pouvais au moins les faire glisser. Tu faisais en sorte de ne pas te casser le dos mais, d'être rapide. Tu savais que, toute seule tu ne pourrais certainement pas faire des miracles mais, c'était déjà une bonne chose. Une voix se fit alors entendre en venant vers toi. Tu relevais la tête et tu remarquais Cassidy qui venait à ton secours pour t'aider à porter le parpaing. "Merci !" Tu souris un peu alors qu'elle attraper le béton dans ses mains. "On ira beaucoup plus vite maintenant." Tu étais contente qu'elle soit venue t'aider. Tu avais rencontré la jeune femme alors qu'elle faisait une ronde. Cassidy faisait partie de la sécurité et une amitié c'était tout de suite créer entre vous. Tu te baissais un peu pour poser le parpaing dans le bas des fondations de l'enclos avant de souffler un peu. "Et de un !" Tu regardais autour de toi, il restait encore tellement à faire et la pluie commençait à s'installer tranquillement. Ton regard se posa alors sur Tommy qui s'avançait vers toi. Il semblait à la fois surpris et pas très heureux de te voir là. D'ailleurs, il te demanda bien vite ce que tu faisais ici et que, tu ferais mieux de te mettre à l'abri. Le vent était un peu plus fort à présent et il avait du le crier pour que, tu puisse l'entendre. Tu posais ta main sur son bras pour te rapprocher un peu sans devoir crier trop fort. "On m'a donné l'ordre de venir ici pour consolider l'enclos ! J'irais me mettre à l'abri quand, on pourra tous s'y rendre." Tu souris un peu bien que, tu n'avais jamais eu l'occasion de voir la puissance d'un ouragan. "Ne t'inquiète pas, ça va aller ! On a encore le temps pour consolider l'enclos." Tu regardais un peu le ciel voyant que, les nuages étaient de plus en plus sombre. Une bourrasque vint alors s'engouffrer dans tes cheveux et tu te retiens soudainement à Tommy pour ne pas basculer et tomber par terre. "On ira surement plus vite à trois...On pourrait essayer de prendre les parpaing par deux...Avec Cassidy on a déjà commencé." Tu ne voulais pas qu'il s'inquiète pour toi et tu tentais tant bien que mal de changer de conversation.
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Dim 18 Mar - 18:14
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► Allons danser sous la pluie
INTRIGUE - GROUPE 2
Animaliers & Sécurité
« Mais ce n’est pas possible d’avoir autant la poisse ! »
Il claqua la porte de la jeep avant de la réouvrir et de la faire reclaquer un coup, la première fois n’ayant pas été assez forte à son gout. Pour la deuxième fois cette semaine, voilà qu’elle lui lâchait entre les doigts. Et toujours au milieu de nulle part. Il n’avait pas vraiment passé ce qu’on pouvait appeler une semaine de rêve. Les interventions qu’il avait prévu de faire avaient été soit annulées soit reportées à une date ultérieure. En gros, il avait passé sa semaine à faire de la paperasse, du repérage et du rangement dans la partie réservée aux XXL à la clinique vétérinaire. Autant vous dire qu’il avait hâte de repartir chercher ses gros protéger. Encore faut-il que cette foutue Jeep cesse de rendre l’âme à chaque fois qu’il faisait plus de 10km. C’était usant à la longue. Donc si les mécanos n’étaient pas fichus de trouver le problème et bien...Mieux valait pour eux de changer de branche. « Si je tombe sur le conn... » Son talkie cracha un discourt incompréhensible, la friture sur la fréquence d’autant plus présente que d’habitude a cause de ce satané vent. Il ouvrit encore une fois la portière et choppa l’appareil « Ici, Dockery, vous pouvez répéter ? » Il lâcha le bouton et attendit quelques secondes. Une voix crayonneuse s’échappa du boitier noir « Y’a un souci* friture* enclos en construction du carni *friture* besoin coup de main* friture* » Il patienta encore un peu, histoire de voir si la personne allait lui donner plus d’information mais rien ne vint. Génial. Il tourna une nouvelle fois la clef dans le contact, appuyant à intervalle régulier sur l’embrayage « Démarre... Démarre bordel ! » Un coup sur le tableau de bord et elle démarra comme par magie. AU même moment une bourrasque de vent fit tanguer le véhicule, « Genial ! Manquait plus que ça ! »

Reprenant la route vers les plus proches installations, il essaya une nouvelle fois d’avoir des renseignements pour ce qu’il se passait dans ce fameux enclos. Mentalement, il fit une liste des enclos déjà habités par des carni et les autres en prévision. Il n’arrivait pas vraiment à voir précisément lequel était concerné puisque plusieurs étaient dans le même état d’avancement que lui. « Ici Dockery, je peux venir donner un coup de main...Pas grand-chose à faire d’autre. Juste me dire où ! » La Jeep accepta de faire une certaine distance avant de montrer à nouveau des signes de faiblesses. Heureusement il était à présent plus proche du Village que de la Restricted Area. « L’enclos se situe à côté de la gare du tram. Je répète. L'enclos se situe à côté de la gare du tram » Jéricho lui confirma alors qu’il allait essayer de se rendre sur place pour donner un coup de main.

« Ici Claire Dearing, message important à l'attention de tous les employés. Un ouragan se dirige vers nous et sera là d'ici deux heures. Il est demandé à tout le monde de se rendre à l’hôtel pour rejoindre l'abri sous-terrain le plus vite possible et dans le calme. Ceci n'est pas un exercice, je répète, ceci n'est pas un exercice. » La voix résonna a travers tout le parc. Et coïncidence ou non, juste quand le message prit fin, une énorme bourrasque balayait la zone. Jéricho, qui avait abandonné la Jeep qui l’avait une nouvelle fois lâchée, du se retenir à un poteau pour ne pas faire 2 mètres en arrière. Elle était belle celle-là ! Et ça n’allait pas aller en s’arrangeant. Il avait encore le temps de regagner l’Hôtel. Il n’était pas si loin que ça. Mais il avait déjà dit qu’il allait donner un coup de main. Et puis plus ils seront à aider, plus vite tous iront se mettre à l’abris.

Sur place, plusieurs personnes s’agitaient un peu dans tout les sens, pas vraiment coordonnées ou alors c’était exécutée d’une étrange façon. Il vit des visages familiers comme Ingrid – qu’il fut à la fois étonné et pas vraiment de la voir ici. Après tout elle était responsable de la sécurité. Donc certes elle avait sa place ici mais n’aurait-elle pas mieux fait de gérer la mise en sécurité du reste du parc ? Allez savoir. Elle était en grande discussion avec un type. Son nom lui échappait à chaque fois. Il connaissait sa tête. Son nom commençait aussi par un J... James ? Non. Jordan ? Non Putain JORDAN !  En voyant la jeune femme, un frisson lui parcouru le dos. Bordel, qu’est ce qu’elle foutait là ? Il s’avança de quelques pas en sa direction avant de voir qu’elle aussi parlait à quelqu’un. Tommy. Lui aussi semblait aussi inquiet de la voir ici. Très inquiet même. "Humm, humm... Je peux peut-être vous aider ? Je ne suis pas doué pour le bricolage, mais je peux porter des choses alors si besoin demander moi." Un type non loin de lui, ressemblant a un canari était planté là, presque en plein milieu sans trop savoir quoi faire. Jerry s’approcha de lui, la main en visière pour se protéger du vent et des débris qu’il emportait « Hey ! L’Canari ! Viens, on va chercher dans gants et on va aider les gars ! » Il lui tapa sur l’épaule, l’invitant à le suivre. En passant devant un des engins il vit son reflet dans la vitre. Si l’autre ressemblait à un Canari, lui avait l’air d’un Sac poubelle Géante avec le nom du Parc écrit en gros dessus. Un vrai spot de pub. Il regarda à l’intérieur et vit une paie de gants de chantier. Il ouvrit la portière, manquant de se la prendre en pleine face quand un coup de vent passe. Il prit les gants et les balança en direction du Canari. « Je vais en chercher d’autre. Faut qu’on se magne sinon ça va nous peter sur la gueule ! »

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Lun 19 Mar - 21:50
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Julian Blake

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Julian grimaça. Evidemment qu'elle disait ! Si c'était aussi évident, pourquoi voyait-on encore une quantité de personnes n'ayant aucune habilitation pour gérer les travaux d'un chantier ? Il y avait mêmes des gamines, enfin il en avait vu au moins une. N'étaient-ils pas des agents d'intervention ? Leur boulot n'était-il pas de mettre les gens en sécurité et de dégommer le danger qui se présentait ?
Contrairement à un dinosaure dangereux, on ne pouvait rien faire contre un ouragan. RIEN.
Que ces gens ne souhaitent pas quitter cette zone sans l'avoir sécurisée était un fait, que des civils n'ayant rien à voir avec le-dit chantier souhaitent s'y mettre en danger, un autre.
Powell ne semblait pas avoir à cœur de passer pour la directrice des opérations et de remettre tout le monde à sa place. Peut-être pensait-elle qu'il valait mieux jouer les gentilles et se faire bien voir ?
Lui s'en fichait bien de passer pour un connard insensible.

Il observa la barre de métal sur le sol, un sacré morceau pour être honnête. Même lui n'était pas certain d'arriver à la bouger. Mais la voix de Powell tout comme son regard lui lançaient un défi. Un défi qu'il ne pouvait pas ne pas relever. Il se pencha vers elle pour mieux couvrir le vent sans pour autant hurler, afin que la discussion reste entre eux deux.

- Vous feriez mieux de commencer à rapatrier les plus fragiles, c'est aussi ça notre boulot : Empêcher les gens de faire de la merde et de se mettre volontairement en danger. Bordel y'a une gosse dans le lot vous l'avez vu ?


La moitié des personnes présentes n'avaient ni les bras, ni la carrure pour réparer ou consolider un enclos. Ils auraient été plus utiles ailleurs et surtout, il devaient se mettre à l'abri. Comment feraient-ils quand dans une heure la panique gagnerait la foule ? Inutile d'attendre que cela leur tombe dessus, mieux valait anticiper.

Agacé par ce manque de discernement, il s'agenouilla et secoua la tête pour se débarrasser de mèches indomptables qui lui fouettaient le visage. La pluie commençait déjà à tomber avec force, d'un coup, comme une douche qu'on aurait allumée. Une des joies du climat tropical, le combo gagnant pour rendre tout travail manuel pénible et compliqué.
Ses doigts agrippèrent la barre, il fit glisser ses paumes en dessous afin de se faire une idée du poids lorsqu'il tenta de soulever la matière métallique une première fois. Comme il s'y attendait, c'était sacrément lourd, mais il avait des années d'entrainements intensifs derrière lui. Sa force était brute et pourtant bien présente. Sous son t-shirt détrempé qui lui collait à la peau, ses muscles se tendirent lorsqu'il souleva la barre pour la caler sur son épaule, au niveau de son trapèze. Le long de ses avant-bras, il voyait ses veines saillir légèrement et il serra les dents, crispa sa mâchoire un moment. C'était putain de douloureux, le poids du métal broyait sa chair à travers le tissu trop fin. Peu importait, il fit abstraction de cela et se releva d'un coup. Là, il planta ses yeux vert dans ceux de Powell, le regard aussi dur que cette barre d'acier avant que sa pupille ne s'éclaire d'un petite lueur de victoire.
Il prit le temps de maintenir un équilibre, le vent et la pluie n'aidaient pas mais il persistait à penser qu'il pouvait le faire. Heureusement, la barre n'avait pas beaucoup de prise au vent. Moins que lui tout du moins et une soudaine bourrasque le fit tanguer dangereusement.

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Mar 20 Mar - 8:03
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Animaliers & Sécurité & Cassidy
Jordan semblait ravie quand Cassidy l’aida à déplacer tous ces parpaings. Elles étaient toutes les deux menues, et deux personnes pour transporter ces parpaings qui devaient au moins peser une petite vingtaine de kilos, ce n’était pas de trop.

« J’espère qu’on arrivera à tout déplacer à temps ! »

Et de un, et de deux, et de trois… Les deux jeunes femmes avançaient à un bon rythme. La pile de parpaings était certes encore grande, mais elle diminuait tout doucement. Jordan fut interrompue par un jeune homme que Cassidy ne connaissait pas, et en attendant, cette dernière continua de déplacer les parpaings seule. Il en restait encore une trentaine à déplacer, ils allaient y arriver. Cassidy remarqua que d’autres personnes étaient venues à la rescousse entre temps. Admettons qu’ils leur restaient une heure ou une heure et demi maximum avant que l’ouragan ne s’abatte sur Isla Nublar, l’enclos serait peut-être consolidé à temps. La jeune blonde espérait que d’autres personnes s’amènent, plus il y avait de monde et au mieux ce serait. Ils finiraient encore plus vite et iraient se mettre à l’abri plus rapidement. Surtout que le vent et la pluie commençaient à devenir de plus en plus forts, ce qui ralentissait tout le monde dans leurs tâches.

Ayant entendu la conversation de Jordan et l’inconnu, voyant qu’ils semblaient être en désaccords et n’en pouvant plus de porter les parpaings toute seule, Cassidy se dirigea dans leur direction et s’adressa au jeune homme.

« Hé ! Désolée d’interrompre et d’être un peu brusque, mais si tu veux que Jordan aille se mettre à l’abri au plus vite, il serait temps de se mettre à l’œuvre. Jordan est grande, elle sait se débrouiller toute seule, elle a pris la décision d’aider à consolider cet enclos et c’est tout à son honneur. Maintenant on manque de temps, alors sois tu nous aides, soit tu vas te mettre à l’abri, à toi de voir. »

Cassidy n’en avait nullement après le jeune homme, d’ailleurs, elle regrettait déjà d’avoir été glaciale avec lui, mais la situation l’angoissait. L’enclos devait être consolidé avant l’ouragan, sinon le parc subirait de grosses pertes. Certes, tous ceux qui étaient présents mettaient sûrement leur vie en jeu, mais s’ils aidaient à l’heure actuelle, c’est qu’ils tenaient à ce parc et à sa réouverture.
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Sam 24 Mar - 1:20
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Animaliers & Sécurité
J'en ai marre ! J'aime pas la pluie, j'aime pas le vent, ni les orages non plus d'ailleurs ! Et quand le tout est combiné à la fois, c'est juste l'horreur pour moi ! Moi ce que j'aime c'est mon labo et m’occuper de mes petits bébés dinos, les nourrir, les dorloter, les câliner ça c'est le pied.  En plus je ne suis mais alors pas un manuel pour un sous. Je vous jure dés que je touche un outils quel qu'il soit je cause plus de dégâts que ce que je n'en répare. Je suis une vraie plaie ! Mon oncle Larry lui était un super constructeur. Il a construit sa maison seul et même reconstruit toute une partie de celle qui a été détruite accidentellement... Ah oui, je ne vous ai pas dit que je suis super maladroit ? Eh ben voilà, moi + une masse, + des marches raides = Pilier de soutiens détruits et mur porteur totalement effondré ! Et on se demande pourquoi mon oncle Larry oublie toujours mes anniversaires... Et je suis censé moi empêché un enclos de T-Rex de s'effondrer ? Moi je vous dis que y'en a ici qui n'ont mais alors vraiment peur de rien. Tiens d'ailleurs un type s'adresse à moi en me demandant de l'aide. Enfin je crois qu'il s'adresse à moi... Mais vue que je suis le seul à porter du jaune canari sur le dos, je n'ai pas vraiment trop de doute à avoir.

Il me tape l'épaule et me demande de le suivre pour chercher des gants pour les gars qui bossent. C'est toujours mieux que de porter des parpaings et puis c'est moins risqué pour les autres si je suis loin du chantier même si c'est juste pour quelques minutes. "Ok, je te suis. Je suis Ian Harving, je suis nouveau au parc et à part mon labo je ne connais franchement rien ici." Je le suis donc vers sa voiture avançant péniblement à cause du vent et de la pluie qui me cingle le visage. On arrive à une voiture, le type en ouvre alors la portière et manque de se la prendre en pleine face. "Putain c'est dangereux ! Et dire que je pensais que les Dinosaures étaient le plus grand des danger sur cette île. Tu crois que si la tempête nous tue ça comptera comme un accident du travail ?" J'attrape ensuite la perd de gants qu'il me lance. "Tu as raison retournons vite les aider. Je sais pas toi, mais moi j'ai pas envie de servir de dîner à un Dino. En plus crever dans cette tenue ridicule trop peu pour moi !" Ajout-ai je en montrant mon charmant parkas jaune. On retourne ensuite prêt des autres et on leur lance à tous des pairs de gants, puis on retourne rapidement au travail.
(c) DΛNDELION


Ian Harving # color = Darkcyan
Ven 30 Mar - 19:52
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• Quelques mois après l'arrivée d'Ingrid •
Intrigue - Groupe 2
Participants & Ingrid Powell

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Le vent gonflait de minute en minute et commençait à s'accompagner de lourdes pluies, faisant s'échapper quelques mèches rebelles du chignon pourtant si soigné que je faisais tous les matins.
Blake s'approcha et au vu de son regard dédaigneux et de la grimace que ma réplique avait occasionné, j'en déduisis que la conversation ne se déroulait pas selon ses plans. Et intérieurement, je jubilais de pouvoir remettre ce brave petit défenseur des justes à sa place. Mais loin d'avoir dit son dernier mot, le jeune agent conduisit la conversation sur une pente qui me déplut fortement.
Comment osait-il me commander de la sorte ? Je m'offusquais. Que croyait-il, que je me satisfaisais de la situation et que selon moi, tout allait pour le mieux ? Je rétorquais d'un ton sans réplique :

• "Et vous, vous feriez mieux de cesser vos insubordinations. Je sais parfaitement en quoi consiste mon travail et le vôtre. Aussi, à moins d'emmener ces personnes une par une sur mon dos ou de les traîner jusqu'au lieu de rapatriement, j'estime que ma place est ici à veiller à ce qu'il ne leur arrive rien. Et si, en soulevant ces parpaings je peux faire en sorte d'accélérer les choses alors, c'est ce que je continuerai à faire pour que, plus vite, nous soyons tous à l'abri."

Je cessais alors de froncer les sourcils. Au fond, il n'avait pas tord et il voulait bien faire. J'étais tiraillée entre le fait de vouloir asseoir ma position et aider le plus grand nombre et malheureusement, l'un ne facilitait pas l'autre. Je ne pouvais lui en vouloir : il prenait ses nouvelles fonctions très à cœur mais il devait apprendre à respecter les limites que j'avais posé. Je ne voulais pas l’empêcher d'agir, qui sait, peut-être qu'il aurait même plus de succès que moi pour faire entendre raison aux autres.

Pour me montrer que je l'avais clairement sous-estimé et sans doute pour me prouver que j'avais tort, il souleva effectivement la lourde barre de fer qui gisait là. Non sans mal parce que je dois avouer que ce n'était pas la plus maniable du chantier. Un léger rictus de satisfaction plus tard et une lueur farouche dans le regard, il se tenait debout, portant la charge indiquée. J'en aurait été tout bonnement incapable.
Une bourrasque de vent vint alors compromettre l'équilibre précaire de Blake, réduisant dangereusement l'espace qu'il y avait entre la barre de fer et moi. Par réflexe, je m’agrippais à elle pour répartir le poids et me plaçais dos à Julian. Alors, je posais à mon tour le pilonne sur l'une de mes épaules, signifiant ainsi que j'allais l'aider à supporter cette charge. C'était bien beau de lui faire des remarques sur son inefficacité mais rester plantée là, à semoncer les environs n'a jamais aidé personne. Et puis, nous étions censé être une équipe, ou du moins le devenir...aussi il fallait commencer à nous comporter comme tel.
Et puis de toute façon, vu notre posture, il ne nous restait plus qu'à déblayer. En somme oui : j'avais gagné.

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Lun 2 Avr - 22:37
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Julian Blake

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Julian Blake
Evidemment, il fallait qu'elle lui fasse remarquer ses insubordinations. Et évidemment, comme toute emmerdeuse qui se respecte, elle avait décidé de le faire là, à ce moment précis alors qu'un ouragan les menaçait.
Le pire dans tout son discours, c'est qu'elle y croyait vraiment. Julian ne sut pas top s'il devait rire d'incrédulité ou lui hurler dessus un peu plus fort. Pour couvrir le vent d'une part mais aussi parce que bon sang, ça lui ferait du bien là tout de suite.
Ne pouvait-elle pas juste donner l'ordre à l'assemblée de regagner les zones de sécurité ? Après tout, n'était-elle pas l'agent d'intervention en titre ?
Non, elle pensait les aider en bougeant les parpaings avec eux, pour les inciter à finir plus vite cette tâche afin de se mettre à l'abris. C'était dangereux et stupide. L'ouragan se rapprochait trop vite, il pleuvait déjà des cordes et le vent forcissait.
Jamais ils ne pourraient terminer tout cela à temps.
Pourquoi le le voyait-elle pas ?

Julian était écœuré devant tant de cécité, mais il ne pouvait la blâmer pour autant. Ingrid possédait inconsciemment ce côté maternel qui le débectait. Si elle l'avait pu, elle les aurait certainement tous pris par la main pour les conduire en sécurité dans l'abris sous-terrain et leur aurait offert une glace, des bonbons et un chocolat bien chaud en les couvant sous une couverture quand l'orage aurait éclaté.
Il savait qu'elle était pourtant tout aussi capable de leur gueuler une bonne fois dessus pour les inciter à se bouger alors qu'attendait-elle ?
La femme forte et autoritaire qu'il la savait être semblait pour le moins endormi aujourd'hui, sauf à son égard. Bien; il allait se servir de cela.

Lorsqu'il commença à perdre l'équilibre, Ingrid attrapa la barre et vint la soutenir, dos à lui. Il avait envie de lui hurler dessus.

- Vous allez vous faire très mal, se contenta-t-il pourtant de la prévenir, les dents serrés.

Le vent leur envoya une nouvelle bourrasque, mais à eux deux, ils tinrent bon et après une bonne dizaine de minutes, Julian récupéra enfin la barre pour la balancer plus loin.
Il se massa douloureusement les trapèzes dorsaux puis la nuque et lança un regard vers Ingrid pour s'assurer qu'elle allait bien, pour autant, il ne lui posa pas la question.

Soudain un puissant grondement déchira le ciel et éclata dans un éclair aveuglant qui sembla proche au jeune homme, trop proche. Les yeux plissés par la pluie, il tenta de regarder au loin les nuages sombres qui se déplaçaient à une vitesse folle et qui semblaient tournoyer au dessus de l'île. L'ouragan serait peut-être là plus tôt que prévu et les consolidations n'avaient pas vraiment avancé. La base avait été renforcée mais les câbles de la grue en hauteur semblaient en proie à une forte tension. Les attaches grinçaient en même temps que le métal à travers le vent et la pluie qui inlassablement les rendaient tous quasiment sourds à tout autre bruit.
Julian observa un des trois câble se tendre encore, son coeur manqua un battement lorsque l'attache du premier câble céda, sous la pression de l'intempérie.

Les yeux agrandis par la surprise, il se jeta sur le sol lorsque le second câble céda dans un claquement sec. Voyant Ingrid toujours debout, il saisit son poignet et la tira d'un coup pour qu'elle se plaque au sol. Au dessus de leur tête, les deux câbles entraînés par le vent et l'élan fendirent l'air dans un sifflement effrayant et fouettèrent tous sur leur passage.

- A TERRE !!! A TERRE !!! hurla Julian bien trop tard.

Un des hommes se fit balayer et son corps fut soulevé dans les airs avant de s'écraser mollement quelques dizaines de mètres plus loin. Stupéfait, le jeune homme tourna son regard vers Ingrid et reprit à son intention :

- C'est comme ça que vous veillez à ce qui ne leur arrive rien ?
ironisa-t-il un instant avant de reprendre bien plus sérieux. Personne ne maîtrise les éléments Powell, il faut leur ordonner de se mettre à l'abris avant qu'il ne soit trop tard.

Et comme pour confirmer ses propos, le câbles dans leurs mouvements fous, emportés par la tempête poursuivirent leurs trajets incertains, traversant les airs et décapitant les arbres jusqu'à venir se cogner contre la structure.

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Mar 24 Avr - 23:42
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Le vent était de plus en plus fort et tu tentais de garder ton équilibre pour ne pas tomber à terre. Il avait encore beaucoup de travail à faire et tu avais l'impression que, jamais vous pourrez y arriver avant que, l'ouragan soit pleinement sur vous. La pluie commençait à être de la partie et tu n'avais de cesse que, de lever les yeux vers le ciel scrutant le moindre débris qui pourrait venir dans votre direction. Il avait autre chose qui te faisais peur, c'était l'enclos du T-Rex non loin de vous. Si un débris atterrissait dans le verre tu ne donnais pas cher de sa résistance. Certes, il était conçu pour résister à un dinosaure mais, quant était-il d'un morceau de fer lancé à toute vitesse ? Tu commençais à regretter d'être venu donner un coup de main mais, tu ne pouvais pas te résoudre à quitter les lieux. Pas maintenant et pas comme ça. Tu devais donner le meilleur de toi pour consolider l'enclos et ainsi pouvoir mettre tout le monde en lieu sur. Tu entendais Cassidy indiquer à Tommy qu'il n'y avait pas trop le temps de s'inquiéter pour rien et que, tu étais venu de ton plein grès. Maintenant, il fallait qu'il donne un coup pour aller plus vite à moins qu'il préfère partir. Tu regardais un peu la jeune femme, elle avait un tempérament fort et c'était surement pour cette raison qu'elle avait rejoint l'équipe de sécurité du parc. Tu tournais un peu ton regard vers le jeune homme en lui faisant une petite moue avant de lui sourire légèrement pour éviter qu'il s'énerve. Ce n'était surement pas le moment de créer une dispute. Tu le relâché après t'être tenu à lui suite à une rafale de vent et tu tournais un peu les talons prête à retourner faire le travail que, tu avais commencé avec la jeune femme. C'est à cet instant qu'une voix forte se fit entendre et couvrit le bruit du vent.

- A TERRE !!! A TERRE !!!

Tu te tournais pour voir d'où venait cette voix et tu aperçu un homme, il était de la sécurité mais, bien vite ton regard se posa sur un énorme câble qui arrivait en plein sur votre direction. Tu ne sais pas comment mais, tu attrapais la main de Cassidy et Tommy avant de venir te jeter au sol avec eux. Tu entendais le câble passer juste derrière vous à la place même où vous étiez quelque secondes plus tôt. Tu relevais un peu la tête et tu aperçu un homme se faire projeter par le câble. Tu refermais les yeux pour ne pas voir l'atterrissage avant d'entendre un nouveau bruit métallique. Tu relevais une fois de plus la tête pour voir que, le second câble de la grue venait de se détacher. Rester à terre ne serait vraiment pas une bonne idée. Tu regardais Cassidy et Tommy "On doit bouger ! Vite !" Tu regardais les alentours et tu remarquais un endroit un peu isolé qui n'était pas dans la trajectoire de la grue et des câbles. "Là-bas !" Tu pointais du doigt l'endroit avant de relever la tête pour vérifier la trajectoire du câble et de calculé dans combien de temps il serait sur vous. Vous aviez à peine quelque minutes pour réagir mais, il fallait aussi que, tu vérifie celui qui était déjà détaché et qui avait manqué de vous toucher. Tu réfléchissais rapidement avant de donner le départ. "A trois...Un...Deux...Trois...Courrez !" Tu te relevais rapidement avant de courir en direction de l'endroit que, tu avais repéré. Vous étiez à peine relevés que, le second câble se détacha manquant de justesse de vous projetez à plusieurs mètres. Tu te stoppais en te retournant pour voir l'ampleur des dégâts tout en reprenant ta respiration. "Si, le vent ne tourne pas, ils vont garder cette trajectoire..." Sauf que, tu parlais trop vite Jordan. C'était un ourgan et le vent était souvent changeant. Tu remarquais alors que, les câbles métallique venaient frapper contre la vitre de l'enclos du T-Rex. De plus en plus fort encore et encore avant de prendre des trajectoires totalement aléatoire.
Codage par Libella sur Graphiorum


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Jeu 3 Mai - 13:29
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► Allons danser sous la pluie
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Entre deux bourrasques de vent et une superbe esquive de portière, Jéricho entendit son compagnon de galère se présenter. Ian. Encore un Ian. Dans son carnet d’adresses, il devait en compte quatre ou cinq des Ian. À croire qu’il y avait une mode fut un temps pour ce prénom ou bien un noyau actif de fan du romancier Ian Fleming… Autre information donnée par le Ian : il bossait au labo. Chouette un geek fan d’éprouvette qui ne devait sans doute pas savoir faire grand-chose de ses dix doigts. Non Jerry, tu ne juges pas, c’pas vraiment le moment Il lui balança les gants et chercha rapidement des regards si une autre paire ne traînaient pas dans le coin. Et non, loupé, retente ta chance. « Ravis de te rencontrer, moi c’est Jéricho ! Mais ca ne te dérange pas si on se claque la bise une autre fois ? Non parce que bon comme tu dis ce n’est pas vraiment le lieu quoi… » Un nouveau coup de vent violent fit grincer les attaches de la grue dans un bruit sinistre. Tout le monde sembla retenir son souffle un instant avant de retourner à sa tache. Personne ne voulait s’attarder trop longtemps, la situation pouvait virer à la catastrophe à tout moment. « Ca fait nettement plus classe sur ta tombe « en-cas de dinosaure » que « écraser comme un con durant un ouragan » enfin j’dis ca j’dis rien ! »


Ensemble, ils se digérèrent vers un groupe d’ouvrier qui semblaient galérer sur un amas de poutres et autres bazars, à moitié plier en avant pour lutter contre le vent lorsqu’il venait de face, dérivant presque à chaque pas lorsqu’il était latéral. Arrivé à leur hauteur, il prit rapidement compte que même avec leur aide, jamais ils n’auraient déblayés à temps le tas pour qu’il ne représente plus un risque pour les personnes. Il tapota une nouvelle fois l’épaule de Ian, lui montrant du doigt le bout de la poutre « On va la prendre à deux et… » Sa voix se perdit dans le fracas assourdissant de la foudre et durant un bref instant, toute la zone fut illuminée d’une furieuse lumière blanche. Jéricho regarda les hommes autour de lui, il n’avait jamais vécu de tempête ou d’ouragan avant aujourd’hui et ne connaissaient leurs puissances que par le biais des images télévisées, mais eux… Eux semblaient être originaires de la région et habitués à ces événements météorologiques impressionnant. Et au vu de la tête qu’ils tiraient, les choses semblaient aller de mal en pis.

Derrière eux, à une dizaine de mètres, la crue semblait gémir sous les assauts du vent. Ses cris d’agonies se mêlaient au vacarme des branches des arbres, au tonnerre dans un certain accord musical plutôt morbide. Genre Marche Funèbre, mais version naturelle. Bizarrement personne ne semblait porter attention à ce bruit inquiétant car tous vaquaient a diverses occupations, ayant en tête de finir vite et se mettre à l’abri de ce bordel. Et Jéricho n’y avait pas non plus accordé la moindre attention jusqu'à ce quelqu’un hurle à plein poumon « A TERRE !!! A TERRE !!! ». Jéricho fut pris du réflexe de survie de n’importe que personne saine d’esprit aurait dans ce genre de cas : s’accroupir, les mains au-dessus de la tête. Certes réflexe naturel mais totalement inutile dans cette situation puisque ce n’était pas par cette position grotesque qui le protégerait de la chute d’une poutre en fer ou de tout autre objet charrié par les rafales de vent.

Un sifflement strident, un rapide coup d’œil vers la crue qu'il avait totalement occultée et la connexion se fit rapidement dans son cerveau : ils étaient dans la merde. Et une belle.Il eu à peine le temps de se jeter par terre qu’un deuxième câble céder sous la pression et vint faucher un des hommes qui se tenait a quelques mètres de lui, sentant le déplacement d’air engendré par le mouvement de ce dernier dans son dos. Le bruit mat, étouffé par un nouveau coup de tonnerre du corps du malheureux atterrissant par terre lui arracha une grimace. Lui, il allait coûter chers en indemnités au parc. Lorsqu’il se releva, il vit que non loin de lui, Jordan et ses deux amis avaient dû eux aussi se jeter à terre pour échapper a la course incontrôlé du câble et de son jumeau. Un rapide coup d’œil à la recherche de son partenariat qu’il repéra facilement avec son imperméable jaune fluo. Ils devaient de mettre à l’abri. Évacuer la zone et merde pour l’enclos. Le matériel, c’est remplaçable, pas les hommes. La Sécurité avait bien merdé sur ce coup-là. Et la directrice allait certainement piquer une crise lorsqu’elle apprendrait tout ca. Connaissant Claire, Jéricho ne voulait pas vraiment être là quand cela arrivera. Il prit appuie sur ses mains pour le relever quand un des hommes à côté de lui le plaqua une nouvelle fois au sol. Un des câbles avait charrié des débris et passa juste à un mètre d’eux. À mi mot Jéricho remerciant le type qui parti ventre-à-terre s’abriter. Il fallait faire vite.

Il se redressa d’un bon, se remettant sur pied et fonça dans les traces du type. Encore deux autres fois il échappa a la course folle des câbles en se jetant à terre ou un s’abritant de justesse derrière un tas de traverses en bois. Mais a la troisième fois, il se loupa. Pourtant il le vit venir le premier câble. Il avait réussi à l’esquiver comme il put. Mais pas le débit qui le faucha de coter. La douleur ne fut pas immédiate. Ce fut plus l’épaule avec laquelle il tapa contre une barre un fer qui lui provoqua une première décharge électrique, chutant sur le côté, couvert de boue de la tête au pied. Et là, la vraie douleur le transperça. Elle irradia dans toute sa jambe, le lançant à chaque fois un peu plus comme si elle pulsait. Il se redressa en position assise, essayant comme il pouvait la boue qui lui recouvrait le visage, ignorant la douleur de l’épaule qui passait au second plan.

Ce n’est qu’a la vu de la blessure qu’il lâcha un cri de douleur. Il n’avait pas été fauché, mais empalé. Un morceau de fer dépassant d’une dizaine de centimètres de son mollet d’un côté. Il ne la retira pas. Même s’il n’y avait pas d’artère important et que le mollet était principalement une région musculaire, ôté le corps étranger allongé dans une flaque de bout signifierait ouvrir la porte aux germes extérieurs. Il passa une main sur l’intérieur du mollet, grognant à chaque mouvement involontaire de sa jambe, tremblant sous l’effet du froid et de la douleur. « Put… de bord… de mer… ! » Il parvenait a s’autocensurer pour ne pas débiter un chapelet d’injure en tout genre. Il aurait mieux fait de rester coucher aujourd’hui. Vers l’intérieur du mollet, a travers son jean il senti ce qui craignait de trouver : l’autre bout du morceau de fer qui lui avait donc traversé de par le par, en diagonale descendante, le mollet gauche.
Pourtant, il ne devait pas rester là. Pas avec les câbles qui battaient les airs et la seule chose qui pouvait l’abriter un minimum était une jeep déjà renversée par l’un deux. Jéricho ne tente même pas de se remettre sur pied. Sa jambe était prise de tremblement à la moindre tentative de sollicitation des muscles et la douleur lui donnait des haut-le-cœur. Il n’avait plus qu’a rampé et prier pour avoir un peu plus de chance que jusqu'à maintenant !

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Jeu 3 Mai - 17:09
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• Quelques mois après l'arrivée d'Ingrid •
Intrigue - Groupe 2
Participants & Ingrid Powell

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La barre de métal pesait considérablement sur mes épaules, si bien que je dus fléchir légèrement les genoux pour en supporter le poids. C'était une lourde charge,  surtout pour quelqu'un de ma stature ..moins imposante que celle de Blake et en dépit de ce que celui-ci pouvaient bien en dire pour me dissuader, je parvins à maintenant le cap et rester plutôt stable. Le vent ne nous épargna pas mais ensemble, nous parvînmes à garder la verticale. Comme quoi, quand il voulait bien se donner la peine...
Je savais qu'il désapprouvait ma façon de faire, mais je n'étais pas là pour lui plaire, et d'ailleurs je ne m'en formalisais pas car nous étions souvent en désaccord l'un et l'autre. C'était une habitude chez Blake de me provoquer et je lui rendais bien volontiers la pareille dès que l'occasion se présentait.
Celui-ci ne rata pas cette aubaine de me montrer qu'il pouvait me surpasser, et repris la barre entièrement avant de faire jouer de ses muscles et de l'envoyer hors du passage. Il passa sa main sur ses cervicales et ses épaules et je ne pus m'empêcher de penser qu'à trop vouloir faire le malin et se la jouer 'solo' façon haltérophilie, il allait échopper de belles courbatures méritées !

Puis un éclair traversa le ciel et je mis ma main en visière pour ne pas rester éblouie. L'orage était sur nous et il s'accompagnait de son cortège de précipitations. Dans ce vacarme, il m'était difficile d'entendre quoique ce soit d'autre, aussi j'allais être épargnée quelques instants des commentaires et des critiques de mon voisin. Dans une situation pareille, tout point positif était à prendre. Je pris quelques instants pour regarder notre progression : j'écartais une mèche de cheveux de mon visage et retroussais les manches de ma veste qui comme le reste de ma tenue me collait à la peau et prenait l'eau.
Nous n’avancions pas aussi vite que je l'aurai voulu, et mon grand regret fut de constater que Blake avait raison : bien que de bonne volonté, les bras qui s'étaient portés volontaires pour aider n'étaient pas les plus forts. Mais je préférerai me livrer aux raptors plutôt que de le lui avouer !
C'est alors qu'un grincement inquiétant retentit et je mis un moment avant de l'identifier clairement, lui et sa position. Il venait de l'un des câbles relié à la grande grue qui surplombait le chantier.  Je fronçais les sourcils, devant le nouveau crissement qui venait de résonner. Le câble se tendait de plus en plus, et j'avais beau réfléchir à toute vitesse, je me trouvais désemparée et sans réponse devant l'urgence de la situation. Le câble n'allait pas tarder à lâcher et pourtant, j'étais là, figée d'horreur pour la première fois de ma carrière. J'en avais pourtant vu des choses au long de ces années, pourquoi cela m'arrivait maintenant ? Était-ce le froid qui engourdissait tant mes muscles que ma raison ?

Ce qui devait arriver...arriva. Le premier des trois câbles se décrocha et vint balayer notre espace comme la liane folle qu'il était devenu. Une pression sur mon poignet gauche me sortit momentanément de ma torpeur et me tira au sol de force. Je relevais la tête et compris que c'était Blake qui m'avait tenu écartée des trajets aléatoires. Je le regardais, effarée, alors qu'il hurlait aux autres l'ordre de se mettre à terre.
Je vis alors un homme se faire projeter sur une dizaine de mètres et ce fut cela qui causa mon électrochoc.
Blake profita de ce moment pour me faire des reproches et me remettre mon manque de clairvoyance en pleine face. Cette fois, contrairement à mon habitude, je ne relevais pas et le laissais dire car je culpabilisais énormément. Ma fierté en avait pris un coup et je regrettais mon erreur. J'avais choisi de croire en la motivation de ces personnes, si bien que j'avais été convaincue de notre réussite dans le délai imparti. Mais comme le disait si bien mon partenaire, personne ne pouvait maîtriser les éléments. Tout c’était déroulé si vite ! Alors, je me fouettais intérieurement et décidais d'agir et d'essayer de reprendre les choses en mains. L'heure n'était pas encore au repentir :

• "Vous aviez raison, Blake : ma démarche était condamnable. Nous n'avons guère plus de temps à gaspiller." Je fis une légère pause, le temps d'analyser la situation et les personnes présentes sur le chantier. "Chargez-vous de mettre en sûreté le groupe de Blackwood et de sa jeune amie. Ils ne peuvent rester ainsi. Je vais pour ma part, escorter les deux hommes* là-bas jusqu'à l'abri le plus proche."

C'était sans doute une grande première pour moi les excuses, et j'espère qu'il allait savoir les apprécier. Je reconnaissais bien volontiers mes fautes, mais le admettre publiquement en était un fait rarissime.
Sans doute pour compenser mon apathie précédente, je me relevais prestement, et me mis en quête du binôme que j'avais aperçu. Celui qui portait le ciré jaune criard ne fut pas difficile à identifier et je fus soulagée de voir qu'il avait réussi à gagner un endroit sauf. Par contre, je mis un moment à repérer le second, toujours plaqué par terre.
Après un dernier regard pour mon collègue, je m'enfonçais dans le rideau de pluie torrentiel, faisait fit de la froideur qui me transperçait les os et de la boue qui me fit trébucher à de nombreuses reprises. Par deux fois, je dus m'aplatir au sol pour éviter de subir le même sort que la silhouette que l'on avait tous vu s'écrouler. Et au bout d'un long moment, je parvins à rejoindre le corps resté allongé :

• "Venez avec moi en lieu sûr, vous ne pouvez pas rester là." Je fis mine de le tirer par le bras et remarquais alors la trace de boue derrière lui, signe qu'il avait rampé. Puis la barre de fer qui formait un angle bizarre et enfin le sang qui imbibait son jean. Je m'exclamais : "Mais vous êtes blessé !" Sans demander son consentement, j'inspectais brièvement la blessure. Ce n'était pas beau à voir, et je ne pouvais espérer stopper l’hémorragie sans le faire bondir ou risquer le tétanos ! La mine sombre, je lui annonçais :"Je ne peux malheureusement vous prodiguer les soins ici, appuyez-vous sur moi autant que nécessaire, et ne posez la jambe au sol que si vous vous sentez flancher."

J'étais là une piètre béquille mais j'avais bon espoir de m'occuper de lui une fois au sec et en dehors du champs d'action des câbles fous. J’attendais sa réponse en dessinant mentalement le chemin le plus court et le poins accidenté que nous pourrions prendre. Parmi ce déluge, ce n'était pas chose aisée !

* = Jéricho et Ian.
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Ven 11 Mai - 2:49
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Ouragan en marche
Intrigue de groupe

Bien entendu, la jeune demoiselle ne se laissa pas intimidé par ta réprimande et, la tête haute, t’annonça qu’elle n’irait se mettre à l’abris qu’une fois l’enclos consolidé. Sa main se posa sur ton bras et posa ta propre main sur la sienne, ne voulant pas la quitter, voulant la tenir. Finalement, une jeune blonde arriva, te rappelant au travail. Tu lui jetais un regard noir. Elle ne comprenait pas. Mais tu n’ajoutas rien et hochas simplement la tête et murmura froidement :

« Je suis là pour aider. »

Tu laissas finalement la main de Jordan de côté et te concentra. Au loin tu repéras Jericho et tu emboîtas son pas discrètement afin de te munir également d’une paire de gants. Tu t’intégras finalement au groupe, trempé de la tête aux pieds, essayant de porter les parpaings contre le vent. Tu soufflais, les éléments rendaient ta progression beaucoup plus compliquée mais tu ne te plains pas, gardant toujours à l’œil la stagiaire qui faisait battre ton cœur.

La voix d’un homme les enjoignant à se coucher parvint à tes oreilles et tu te jetas sur Jordan qui tenait la main de Cassidy et vous tombèrent tous les trois sur le sol. Tes bras se mirent alors en protection autour du corps de la jeune femme sans que tu ne le réalises. Tu relevas la tête pour voir un homme s’envoler dans les airs et tes prunelles contrariées se posèrent alors sur ta bien aimée. Si cela avait été un film, ça aurait été le moment où le héros embrasse la femme de sa vie mais c’était la vie et non un film et la jeune femme reprit ses esprits plus rapidement que toi et vous invita à vous en aller.
D’un geste commun, vous vous releviez et évitiez de justesse le câble qui revenait vers vous. Sa capacité de perception ne cesserait de t’impressionner. Tu tournas la tête pour voir le câble revenir sur…

« JERICHO ! »

Ta voix avait bravé le vent et tu avais vu le câble revenir sur ton ami pour le frapper à l’épaule. Il était tombé et son mollet était entré en contact avec une barre de fer qui dépassait alors. « Fuck », l’insulte échappa tes lèvres. Tu te jetas vers ton ami, oubliant quelques instants ta stagiaire. Tu le vis essayer de bouger la jambe, essayer de faire quelque chose.

« Arrête. Ne bouge pas. »

Une dame, à l’allure respectable, s’avança alors vers vous et finalement réalisa que Jericho était blessé. Elle lui expliqua qu’actuellement elle ne pouvait lui prodiguer des soins mais lui proposa d’avancer et de s’en aller. Sans réfléchir tu lanças :

« Mais il faut attendre un médecin. Le bouger pourrait être pire non ? »

Soudain tu réalisas. Avec ce temps, des longues minutes pourraient les séparer de l’arrivée de secours et rester ici n’était pas judicieux. Tu regardas l’autre homme aux côtés de Jericho avant de lui demander.

« je peux compter sur toi pour aider Jeri ? »

Non. Il était hors de question de laisser Jordan seule face aux éléments. Même si Jericho était ton ami, il était entre de bonnes mains actuellement.


propulsed by VANKA
Lun 14 Mai - 13:11
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INTRIGUE - GROUPE 2
Animaliers & Sécurité & Cassidy
Finalement, l’homme qui avait incendié Jordan à propos de sa présence sur le chantier s’était calmé, sûrement vexé par les propos de Cassidy et se mit à les aider à porter les parpaings et deux mains supplémentaires n’étaient pas de refus puisqu’ils avaient pu pratiquement terminer de déplacer tous les blocs. Cependant, l’ouragan s’approchait beaucoup plus vite que prévu et plus les minutes passaient et plus il était dangereux de rester dehors, exposé à tous les risques possibles et inimaginables. Alors que Cassidy venait de déposer l’un des derniers parpaings, elle entendit un homme hurler « A TERRE !!! A TERRE !!! ». L’être humain étant comme programmé de regarder dans la direction du danger avant d’agir, Cassidy se retourna et vit un câble de grue s’agitant dans tous les sens. Elle sentit qu’on lui prit la main et elle se retrouva par terre en moins de deux à côté de Tommy et Jordan. Cette dernière avait réagi au quart de tour et heureusement car le câble virevoltait juste au-dessus d’eux. Malheureusement, un homme mit trop de temps à réagir et le câble l’emporta. Le pauvre homme… Cassidy espérait qu’il s’en sortirait, même si ces chances doivent être minces. Jordan suggéra de déguerpir.

« Excellente idée, en espérant que le câble veuille bien nous laisser quelques secondes pour partir d’ici ! »

Cassidy surveillait que le câble ne les atteigne pas. Jordan quant à elle avait trouvé un endroit où ils pourraient se mettre tous les trois à l’abri, du moins pour quelques minutes. Le danger était réel, il fallait partir au plus vite. Jordan compta jusqu’à trois et Cassidy se releva à toute vitesse et atteignit l’endroit sûr, suivi de près par Jordan et Tommy. Désormais, il était temps de s’abriter. Des débris venaient s’écraser contre la paroi de l’enclos en plus des câbles. Si l’enclos pouvait résister à un T-rex, il allait savoir résister à un ouragan, du moins c’est ce que Cassidy espérait.

Tommy fonça vers un homme à terre qui apparemment se prénommait Jericho. Jordan et Cassidy lui emboitèrent le pas et la jeune femme remarqua qu’une barre de fer avait transpercé le mollet de cet homme. Formée au premier secours grâce à son travail, Cassidy inspecta la blessure. La barre de fer ne devait pas être enlevée au risque de faire pire comme une hémorragie ou une infection, cependant elle ne devait pas non plus bouger d’un seul millimètre au risque d’endommager encore plus le muscle. La jeune femme prit son sweat qu’elle avait entourée autour de sa taille et le coupa en deux. Jericho – comme toutes les personnes présentes sur le chantier – devait maintenant être mises à l’abri, et Cassidy allait essayer de faciliter un peu plus ses déplacements.

« Ça risque de faire mal, désolée, mais la barre doit être maintenue pour que la blessure n'empire pas. »

Elle passa un premier bout de sweat en dessous de la jambe de Jericho le plus délicatement possible pour qu’il ne souffre pas de trop et le positionna juste au-dessus de l’endroit où la barre pointait puis serra de toutes ses forces. Elle essayait de ne pas se focaliser sur les gémissements de Jericho, il souffrait, mais c’était pour son bien. Elle prit le deuxième bout de son sweat et le plaça cette fois en-dessous de la barre et serra une nouvelle fois. Le garrot était fixé, et la barre était maintenant maintenue en place, ce qui allait un peu plus faciliter les déplacements, même si la tâche s’annonçait déjà particulièrement difficile.

« On n’a plus le temps de consolider l’enclos, il faut tous partir se mettre à l’abri et vite ! »

Le vent était encore plus violent et les câbles menaçaient toujours de les projeter au loin, sans parler que les débris qui volaient pouvaient les blesser, et les débris devenaient d’ailleurs des objets de plus en plus gros.
(c) DΛNDELION
Dim 20 Mai - 16:00
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