Plus personne ne semblait respirer, dans le bureau de la PDG. L’oreille tendue vers cette unique porte d’entrée, les regards se cherchaient, revenant au battant comme espérant voir apparaitre la réponse à cette question de Miller qui n’avait su trouver de suite. Jusqu’à ce que… « « Ce… C’est Nigel ! Je… Je ne sais pas où me cacher, j’vous en supplie, ouvrez ! » Un léger soupir échappa à la jeune femme qui sembla soudainement soulagée. Mais Miller, lui, ne semblait guère résolu à baisser sa garde. « Mais qu’est-ce que vous attendez ? Ouvrez-lui, bon dieu ! » « Mademoiselle Masrani, mes ordres n’incluent pas la sécurité de… » « Miller, JE vous ordonne de lui ouvrir cette foutue porte dans la seconde. » « Allons Laura, votre garde du corps à raison, cet idiot est peut être de mèche avec le terroriste… » « Cet idiot, comme vous dites, est un jeune homme des plus louable et si sa sécurité dépend uniquement de l’ouverture de cette porte dans l’instant pour une brève seconde, je pense qu’on peut créer une légère entorse à ces règles, non ? » Green leva les yeux au ciel, comme si cette idée était bien des plus stupides. Miller, lui, sembla foutrement embêté, ne sachant sur quel pied danser. « Je dois en référer avec l’agent Blake pour… » « Enfin, Miller, il a d’autres chats à fouetter à cette heure ! Bon, puisque quelqu’un doit être responsable de cette décision, soit ! » Aussi, traversant la pièce et malgré un avertissement de Miller, Laura s’était dirigée vers son bureau, penchée vers lui et avait activé l’ouverture de la porte. Et ainsi se déchaîna le chaos.
Elle croisa le regard de Nigel, et elle comprit instantanément. Là, dans son ombre, tapis comme un loup se frayant une place maîtresse dans la bergerie, Banks semblait rayonner. Miller le vit aussi. Trop tard. Il leva son arme et pourtant, armé de son silencieux, ce fut Banks qui fit mouche le premier. Le grognement de Miller alerta Laura aussi vite qu’elle repéra l’arme s’écartant de lui. Dans un réflexe presque idiot, elle s’élança vers celle-ci et pourtant, d’un mot, il rappela à l’ordre la jeune femme, stoppant sa course sous adrénaline pour la figer net. En une seconde, ils venaient de passer d’une situation sous contrôle, à l’horreur véritable. Et tout était de sa faute, une fois de plus. Nigel fut jeté à terre et Laura grandement priée de s’asseoir à l’endroit où elle se trouvait. Banks s’avança vers Miller, l’arme pointée en avant, le canon en direction de sa tête. Et Laura ferma les yeux.
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This is my LegacySo, are you gonna die today, or make it out alive ? You gonna conquer the monsters in your head and then you'll fly. Fly, Phoenix, fly.
La fin de toute chose signe le commencement d'une autre
Tout est sous contrôle. Alors que Miller s’effondrait devant lui, Timothy savait que le plus dur de la besogne était maintenant passée. S’ouvrant la voie dans les hautes sphères, il se garantissait une possibilité de sauf-conduit. Il n’y eut pas de cri, tous semblaient stupéfaits de ce qu’il se passait. Mais il croisa les yeux noirs de Masrani et il sut. Il sut qu’il venait de gagner. Alors que la jeune femme se jetait en direction de l’arme de son garde du corps, il ne suffit que d’un ordre pour la stopper dans son élan. « Stop ! » lls comprenaient. Ils mesuraient sa dangerosité. Ils allaient respecter ses volontés, oui… Tout irait bien. Ou presque.
Se délestant de son bouclier humain, il s’avança vers Miller, le regardant dans le blanc des yeux tandis qu’il pointait son arme sur lui qui était à terre. Il pouvait tirer. Une menace de moins… Mais il n’était pas un meurtrier. Il ne voulait que sa liberté. Contournant le garde du corps tout en le gardant en joug, il réactiva la fermeture de la porte et se laissa aller à un soupir. « Bien… C’est très bien… » Faisant un rapide tour de l’inventaire de la salle, il opta pour des décisions rapides. « Miller, contre la baie vitrée. L’assistant, aide-le, tu restes à côté de lui… Attends ! » On est jamais trop prudent… Alors que Miller se relevait, il vint tâter ses manches, ses jambes, trouvant une autre arme au niveau de sa cheville. Plus d’une fois, Miller eu envie de résister, de tenter quelque chose. Mais il n’était pas seul et sa mission demeurait de protéger la jeune héritière, quoiqu’il en coûte. Aujourd’hui, il lui en coûterait peut-être la vie.
« Green, bougez votre cul là-bas, dans le coin. J’veux tous vous voir. » Concours de circonstances amusant, ce fut à cet instant que le portable de Miller sonna, attira toutes les attentions. « Sors-le. » Obéissant, Miller lui montra ainsi le nom de l’appelant. Blake. Merde. Si on laissait sonner… ça allait mal se passer. Sinon… « Tu réponds. Et RAS, pigé ? Sinon… » S’écartant de Miller, il pointa son arme vers une autre cible. L’Indienne était à genoux, à terre, et le garde du corps n’eut qu’à croiser son regard pour comprendre qu’ils devraient tous se serrer les coudes. Il décrocha simplement, laissa Blake lui donner les instructions et lui signala avoir bien reçu ces dernières. « Bien joué, Miller… Maintenant, si mademoiselle veut bien se donner la peine… » lui tendant la main il l’invita à se relever et si elle l’ignora, il finit par lui attraper le bras pour mieux la guider devant le bureau. « Ok, Masrani. Maintenant qu’on est là, on va pouvoir causer… Je veux une voie de sortie garantie pour regagner le continent sans être inquiété le moins du monde. Non, ne dis rien, j’ai conscience que ce n’est pas toi qui tiens les commandes là. C’est pour ça que je vais appeler ce cher Julian pour lui expliquer le tenant de la situation. Mais d’abord, je vais avoir besoin de tes identifiants pour accéder au panneau de contrôle général du parc. » Pointant son arme vers les autres présents. « On m’a dit que viser les gens à l’aveuglette avait plus de poids sur toi que de chercher à te menacer toi… Ah, et ne me force pas à te couper encore le doigt… » L’ambiance dans la pièce était tendue et venait de remonter d’un cran. Et alors qu’il laissait Laura face à son libre arbitre, ce fut une détonation à l’extérieur qui attira l’attention générale de la pièce. « Et c’est maintenant que tout commence… Et tout se termine. »
Parmi les nombreuses résidences récemment bâties pour loger le personnel, alors que le confinement général a été réclamé, c’est tout un appartement qui vient de se faire souffler par cette étrange explosion au gaz. Evidemment, les appartements situés juste au-dessus et juste au-dessous sont fortement touchés. Plafond et plancher se sont effondrés sous l’instabilité qu’à provoqué le souffle. Des morts ? par chance, il n’y en a aucun mais, déjà, des blessés appellent à l’aide. Les résidences les plus proches, elles, ont ressentis fortement l’impact, certaines fenêtres ayant pu voler en éclat quand des vibrations intenses ont pu se faire sentir.
EXPLICATIONS
Après une longue période de creux, nous voilà repartis. Quelques surprises à venir dans la prochaine intervention qui, en fonction de ce qu'il se passera pourra éventuellement avoir des conséquences sur la suite du jeu, mais nous n'en sommes pas là. Pour l'heure, Banks est dans une situation confortable, a le contrôle de quatre otages - et pas n'importe lesquels - et affiche enfin des revendications claires. Sous ses airs de kamikaze, il espère donc s'en sortir !
Une des résidence a explosé, je vous laisse donc aire en conséquence. C'est une explosion de gaz donc, même sans visuel, sachez que la détonation liée à celle-ci a pu s'entendre jusqu'au centre de l'île. Oui, ça pète de partout, mais ce n'est pas encore le bouquet final !
Pour rappel : - Merci de privilégier les posts courts et de garder à l'idée qu'un post = une action afin de permettre à d'autre de réagir et éviter ainsi les actions croisées. Vous êtes également priés de rédiger un petit résumé à la fin de votre post afin de faciliter l'accès à tous durant l'événement, sous citation. - Merci de nous préciser quel équipement vous avez sur vous, sous spoiler, sauf si aucune modification n’est effectuée. Vous comprendrez que si des choses seront forcément acquises dans l'environnement, nous ne nous attendons pas à voir des lampes torches sortir de... On ne sait trop où. - Enfin, et comme stipulé dans le MP que vous avez reçu, si vous ne souhaitez pas prendre part directement à cet évent, sachez donc que ce jour-là, il aura été retenu dans son logement pour des raisons qui ne regardent que lui. De plus, si vous commencez à poster mais que vous vous absentez subitement sans excuse valable, le staff se réserve le droit de vous PNJiser (et j'espère que vous ne tenez pas trop à vos personnages, si tel est le cas... )
La prochaine intervention PNJ se fera d'ici une dizaine de jour, il n'y a pas d'ordre de post prédéfini.
LA FIN DE TOUTE CHOSE SIGNE LE COMMENCEMENT D'UNE AUTRE.
feat. plein de monde
La main de Parker toujours dans la mienne, j'avance doucement dans les couloirs de l'aquarium, en direction de la sortie. Il est toujours en train de discuter avec sa mère et c'est une bonne chose, au moins, je suis sûr qu'elle va bien... On ne met pas vraiment longtemps à rejoindre la sortie de l'aquarium et une fois dehors, je soulève Parker pour l'asseoir sur un petit muret. Moi, je prend une profonde inspiration, me penche en avant et souffle. Putain, ce coup de stress... Je me redresse, tourne la tête vers Parker et lui souris. Je crois que je n'ai jamais été content de voir ce petit gars...
Je le laisse parler avec Leanne et vais m'appuyer sur le muret, prés de lui. Les bras croisés, je guette toujours les environs et je suis placé de telle sorte que si la personne qui sort de l'aquarium est armée, elle ne puisse pas voir le bonhomme. Je passe une main dans mes cheveux, me racle la gorge, souffle et croise les bras. Je jette un petit coup d'oeil sur mon portable, pas de nouvelles de Blake, j'espère que tout va bien pour lui... En tout cas, je ne vais pas lui renvoyer de sms, par simple mesure de précaution...
Je suis sur le point de demander à Parker si il peut me passer sa mère lorsque je sens comme des vibrations. Tout le sol se met à trembler et par simple réflexe, j'attrape le gamin pour le mettre bien à l'abris dans mes bras, ma main posée sur sa tête. Je serre les dents, mes yeux cherchent d'où ça peut venir lorsqu'un bruit sourd, une explosion, résonne dans tout le parc. De là où nous sommes, je ne vois rien mais après ce que je viens d'entendre, je doute que ce soit un petit bâtiment qui a sauté. Une fois le silence et le calme revenu, je frotte les cheveux de Parker et dépose un baiser sur le haut de sa tête.
"Ca va aller bonhomme... Dés que maman arrive, je vais vous mettre à l'abri..."
J'ai fais une promesse à son père et je compte bien la tenir. Hors de question qu'il arrive quoi que ce soit à Leanne et Parker tant que je suis en vie... Le regard inquiet, je fixe la sortie de l'aquarium et murmure entre mes dents.
"Allez Leanne... sors..."
nightgaunt
Résumé:
Owen conduit Parker à la sortie de l'aquarium pour y attendre Leanne. Il sent le sol vibrer, trembler, prend le gamin et le protége alors qu'au loin, une explosion se fait entendre. Inquiet, Owen fixe la sortie de l'aquarium espérant voir Leanne arriver rapidement...
Elle écrasait la pédale d’accélération. Pas à un seul instant, elle songea ralentir. La mâchoire serrée, la jeune femme pestait en Ecossais, penchée sur son volant. bordel, pas ça. Tout mais pas ça. Un instant, elle s’imagina vider son chargeur sur Banks, simplement pour le plaisir, pour la joie personnelle. Le talkie demeurait malheureusement silencieux. Allez, Booker, bordel. Le moteur vrombissait alors qu’elle passait une nouvelle vitesse. Si Banks sortait maintenant de derrière un buisson, au moins, il se ferait faucher comme on renverse un malheureux chien sur la route.
Et finalement, le soulagement. Ici Booker.« Bordel de merde, mais il me fait plus jamais ça, lui ! »Explosifs. A travers les bruits que produisaient le véhicule, elle perçut ce mot. Ça la foutait mal. Très mal. Ils risquaient de marcher sur des œufs et… D’un autre côté, pourquoi aurait-il bombardé ce bâtiment précisément ? « Fils de pute… Elle aurait pu faire demi-tour. Les ordres l’auraient certainement voulu. Mais si Lorna était un soldat qui ne remettait jamais en cause les décisions portées par ses supérieurs, elle n’en avait plus reçu depuis l’explosion et avait vu Booker à terre. Même s’il parlait, il avait certainement besoin d’un coup de main.
Arrivant devant le grand bâtiment, elle freina avec brutalité, dérapant sur le bitume dans un crissement répugnant. La fumée était toujours là quoique dissipée. Elle avait vu les images, elle savait où aller. Empoignant la trousse de premiers secours, elle sauta de son siège conducteur pour mieux accourir. « Booker ! Puis, un instant avant d’entrer, elle se souvint de ses recommandations. Explosifs. Bon, elle n’aurait pas le temps de s’improviser démineur, c’était une certitude. Mais si elle pouvait au moins éviter d’enclencher une seconde charge… S’humectant les lèvres, elle guetta les environs, les piliers, les murs. Visiblement, les difficultés risquaient d’arriver dès lors qu’ils tenteraient de monter dans les étages. D’ailleurs, à l’autre bout du grand hall, une autre porte semblait avoir également sauté. « Merde… Qui a dit qu’il tentait une percée, déjà ? Mendoza ? Elle avait prévenu de son arrivée… Était-ce elle qui… ? « Mendoza ? » Elle espérait une réponse. Une réponse rapide.
Puis, s’avançant prudemment, elle finit par atteindre Booker. « Etat des lieux chef ? » Mais il lui suffit de baisser le regard pour constater que les dommages étaient conséquents. « Merde… » S’accroupissant, elle observa sa jambe, cette barre de fer fichée dans la cuisse. Plus qu’à espérer que rien de grave était touché… « Okay… On va devoir… Trouver une solution. » Merci Captain obvious. Si on l’extirpait de là, il risquait forcément de se vider de son sang. Et les médecins étaient confinés donc pas près de se pointer. « Tu crois que tu vas pouvoir te lever, avec ça ? » Hors de question de virer cette barre en métal, clairement. Saisissant le Talkie, elle prit une profonde inspiration. « Un homme à terre. Je répète, un homme à terre. Tentative d’extraction à venir. Banks, espèce de fils de p*te, j’te jure que j’te croise… » Ca ne servait à rien. Soupirant rapidement, elle releva le chef vers la porte sautée. « Mendoza, c’est toi ? Etat des lieux ? Ne tente pas de venir, ça ferait péter d’autres charges. »
Résumé:
Lorna débarque sur le lieu des premières explosions. Elle y découvre Booker qui est touché et suppose que Mendoza a subi un sort au moins aussi peu enviable depuis une autre entrée.
Equipement:
- Arme de poing 9 mm - Gilet pare-balles - Kit de premiers secours
Owen avait son fils. Parker allait bien. Alleluia. Les questions affluaient dans sa bouche, et évidemment Owen avait pris soin de lui répondre. Pas loin de la sortie. Bordel, mais laquelle, Owen ? Il y avait au moins trois sorties dans ce bâtiment ? Etant donné la logique avec laquelle il lui servait l’information, elle opta pour l’entrée principale de l’aquarium, celle qui était la plus intuitive à nommer, la plus grande. C’était quoi le coup de feu Quel coup de feu ? Elle eut un temps d’arrêt, se demandant si son poussin ne courrait pas un danger… Avant de comprendre qu’ils avaient sûrement craint ce qu’elle avait fait. [color=cornflowerblue]« Euh… Oui, c’est rien… Je t’expliquerai. »[color] Oui, bon… Elle avait peut-être manqué d’abattre leur chef de la sécurité… Bon, abattre. Endormir pour de longues heures. C’était déjà une performance qu’on lui aurait bien reconnu en cette situation de crise, non ?
Au petit pas de course, elle parcourut le zoo aquatique avant de s’arrêter brutalement devant la détonation vrombissante qui fit trembler le bâtiment. Merde, c’est quoi ça, encore ? Le cœur battant, elle avait machinalement relevé les yeux vers le plafond, comme si la réponse allait y apparaître, comme par magie. L’instant dura quelques secondes, puis elle se remit en route. Le souffle court, elle guetta la sortie de l’aquarium et sembla s’effondrer quand elle aperçut les deux petites silhouettes au loin. « PARKER ! » Le soulagement transparaissait dans son cri et l’enfant lui répondit sur le même ton, échappant un instant à Owen pour mieux venir à sa rencontre, pour mieux se laisser étreindre. « P-plus jamais… Ne me fais plus jamais ça… » Elle devait rester forte, ne pas fondre stupidement en larmes alors que le garçonnet, lui, ne s’obligeait pas cette peine. Il avait eu peur. Il était terrifié. S’écartant doucement de lui, elle déposa un baiser sur sa joue avant de se redresser. Se tournant vers Owen, elle soupira longuement et, sans réfléchir davantage, elle le serra dans ses bras. « Merci… » Merde, voilà qu’elle devenait sentimentale… S’écartant un peu promptement, elle toussota doucement avant d’attraper machinalement la main de son fils. « On ferait mieux de déguerpir, non ? » Et le plus tôt serait certainement le mieux…
Résumé:
Leanne parcourt l'aquarium pour retrouver Owen et son fils Parker.
Pourvu qu'il n'y ai pas d'autres victimes que lui dans ce maudit bâtiment complétement piégé. Il ne savait pas trop où en était la situation pour les autres mais Lance n'avait pas perdu l'objectif principal. Banks était toujours là-haut et avait une longueur d'avance désormais. Lance avait prévenu les autres des charges explosives qui étaient planquées ici, même s'il ignorait combien il y en avait, s'il y en avait d'autres d'ailleurs. Au point où il en était, c'était le cadet de ses soucis. Pour le moment, il devait d'abord se tirer de là, mais ça semblait pas mal compromis comme programme. Cette barre de fer plantée en lui, en plus d'être affreusement douloureuse, l'empêchait de se mouvoir correctement, même s'il parvenait par miracle à se remettre debout. Parce que oui, il aimerait se remettre debout et ne pas finir sur un échec. Tant qu'il respirait encore, Banks ne devra pas crier victoire trop vite.
Il serra les dents pour s'empêcher de gémir alors qu'il essayait de s'extirper des décombre avec sa jambe en bien mauvais état. Il ne chercha pas à ôter la barre de fer, bien conscient que ce serait pour lui une erreur fatal. Il avait encore besoin de son précieux liquide écarlate ! Mais évidemment, le muscle perforé de part en part ne répondait plus à rien. Pas sans une intense douleur en tout cas. Lance ne pouvait plus compter sur cette jambe pour le moment, mais il ne comptait pas s'arrêter pour autant. Il en fallait bien plus pour le garder à terre. Etant donné les circonstances, il songeait même qu'il ne s'en tirait pas trop mal. C'est alors qu'il entendit une voix l'appeler. Une voix qu'il reconnut un peu trop facilement.
- Forbes ?!
Qu'est-ce qu'elle fichait là ? N'était-elle pas encore convalescence et désigner pour rester en retrait de toute action ? Le trentenaire balaya la zone du regard, malgré le nuage de poussière qui peinait à se tasser. Finalement, il ne tarda pas à avoir apparaître la silhouette de la jeune femme qui se hâta à sa rencontre.
- Etat des lieux ? En miette si tu veux mon avis. Qu'est-ce que tu fabrique ici ?
Il souffla un moment pour oublier la jambe qui le lançait puis reprit d'un ton un peu plus concerné :
- Je t'ai entendu dire "Mendoza", elle est ici ?
C'était elle alors la seconde explosion qu'il avait entendu...? Merde. Ce n'était pas bon du tout ! Lorna se rendit compte de la situation et ce dernier haussa les sourcils :
- Ah oui ? P*tain heureusement que t'es là, j'y avais pas pensé, lança t-il avec sarcasme.
Lance n'était déjà pas un ange en temps normal mais il fallait bien reconnaître que dans sa situation actuelle, il n'était pas près de se montrer moins cynique et ce, malgré tout l'estime qu'il avait de Lorna. Mais il se reprit bien vite à sa question et répondit avec détermination.
- Il le faudra bien. J'ai pas l'intention de rester là à attendre que les choses se passent. Mais cette jambe est...devenue un peu capricieuse. Je ne pensais pas dire ça un jour mais j'ai éventuellement besoin d'un petit coup de main pour me relever Forbes.
Ca lui coûtait clairement de dire ça. Mais quitte à choisir, il préférait que ce soit Lorna qui assiste à cette faiblesse plutôt que quelqu'un d'autre.
- Homme à terre, mon c*l ! Pas pour longtemps ! Je ne vais pas laisser ce sal*ud s'en tirer. Il est en haut avec Masrani !
Et bien qu'elle lui sortait par les yeux, il ne pouvait pas se permettre de la laisser avec ce type capable de tout. D'autant plus qu'il n'y avait sans doute pas qu'elle comme otage là-haut. Après quoi, Lorna tenta une communication avec Mendoza et Lance devait bien reconnaître qu'une absence de réponse l'inquiéterait au plus haut point. C'est alors qu'une autre explosion retentit, un peu plus lointaine cette fois, venant d'un autre bâtiment.
- Qu'est-ce que c'est que ce merdier encore ? Il compte faire sauter l'île entière ou quoi ?!
Toujours bloqué dans les décombres, Lance est rejoint par Lorna, s'inquiétant du sort de Mendoza tout en affirmant à Lorna qu'il était prêt à se relever et même à continuer la mission car Masrani était à présent en danger. Il entend alors la nouvelle explosion dans un autre bâtiment et ça ne lui dit rien qui vaille.
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~ On peut aisément pardonner à l'enfant qui a peur de l'obscurité ; la vraie tragédie de la vie c'est lorsque les hommes ont peur de la lumière ~
LA FIN DE TOUTE CHOSE SIGNE LE COMMENCEMENT D'UNE AUTRE.
feat. plein de monde
D'un sourire, je tente de rassurer Parker qui fixe des yeux, comme une âme en peine, la sortie de l'aquarium. Oui, elle va arriver, j'en suis convaincu, j'en suis sûr. Je prend une profonde inspiration, me bouffe littéralement l'intérieur des joues et fixe sans cesse et sans même cligner des yeux, la sortie. J'essaye de ne pas affoler un peu plus Parker suite à l'explosion qu'on vient d'entendre et de sentir mais je sais déjà que les conséquences vont être terribles pour tout le monde...
Des bruits de pas, je lève les yeux vers l'arche de sortie de l'aquarium, croise les doigts et serre les dents. J'arrête même de respirer, je crois, et mon coeur s'emballe alors que les bruits de pas se rapprochent. Parker contre moi, je le met en arrière, juste au cas où, par précaution. Parker aperçoit la silhouette qui s'avance, son prénom résonne, il se met à crier et quitte mes bras pour rejoindre sa mère qui, enfin, sort de ce maudit endroit. Je pousse un soupir de soulagement et me mord les lèvres pour ne pas laisser échapper un juron. Elle est là bordel... elle est là et bien en vie. Je reste là, à les observer tous les deux et mon coeur se serre réalisant à quel point je peux tenir à ces deux petites personnes. Je serre les poings, ferme quelques secondes les yeux et les ouvre lorsque je sens qu'on me prend dans les bras.
Je baisse les yeux, aperçois la jolie chevelure blonde et pousse un soupir de soulagement, inspirant son parfum. Sans un mot, je la serre tout contre moi, espérant la garder longtemps contre moi mais c'est sans compter sur Leanne et son handicap émotionnel. Je passe une main dans mes cheveux, me râcle la gorge et fixe Leanne.
"Pareil pour toi... ne me refais jamais ça... plus jamais..."
Quitter cet endroit... En voilà une idée qu'elle est bonne. Alors, lorsque la blonde propose qu'on se tire de là, je ne peux qu'acquiescer d'un signe de tête.
"Venez, on va se mettre à l'abri..."
Trouver un endroit à l'écart de tout... c'est là qu'on doit aller... S'éloigner le plus possible des installations... ça sera plus sûr.
nightgaunt
Equipement:
- Radio - Téléphone - Couteau
Dim 26 Sep - 15:03
Invité
Invité
Impossible de savoir combien de temps s’était écoulé quand Eva reprit conscience sous un tas de bouts de cloisons, papiers, corbeilles et autres éléments disparates du grand open space qui ne ressemblait plus à rien. Une poussière blanche et dense alourdissait l’air, rendant la respiration difficile et la visibilité quasi-nulle. En outre, ses oreilles avaient morflé pour la deuxième fois et bourdonnaient en continue même si le sifflement aigu qui l’assourdissait depuis la première explosion avait considérablement diminué.
Toussant et crachant du plâtre, elle parvint à écarter quelques gravats et se redresser sur ses genoux le temps de faire le point sur la situation. Quelque part à travers le coton qui lui remplissait les oreilles, elle entendait les crachouillis indistincts de sa radio où quelqu’un s’égosillait. Incapable de répondre dans l’immédiat, elle ignora purement et simplement ce bruit pour se concentrer sur elle-même. A priori, aucune blessure grave et même rien de plus qu’un état de saleté mémorable et quelques égratignures légères. Bon, et un choc suffisant pour l’assommer, mais après tout c’était bien normal. Et puis ce n’était ni la première ni la dernière fois. Elle avait la tête dure.
Après ce premier bilan plutôt positif, elle entreprit de se lever prudemment. Elle tenait debout, c’était déjà pas mal, et ça ne tournait pas plus que raisonnable compte tenu des circonstances. Quelques instants plus tard, stabilisée, elle vérifia qu’elle était toujours armée, récupéra ce qui était tombé sous elle puis entreprit de prévenir les autres du fait qu’elle était en vie, si jamais on en avait douté. Numérotation rapide vers le téléphone de Blake à qui elle fit un point rapide : il y avait des charges explosives plus ou moins puissantes dans tout le bâtiment, en particulier aux points névralgiques types accès aux étages et escaliers.
À présent que ses oreilles répondaient mieux, elle revint vers la porte coupe-feu qui l’avait protégée du gros de l’explosion et la rouvrit sans autre forme de précaution. La première charge n’était pas sur la porte et avait déjà sautée, impossible qu’une autre ait été placée à cet endroit entre temps. En revanche, il restait l’escalier et l’accès au niveau 0. Toutefois, Banks ne pouvait pas avoir réparti des dizaines de charges juste avant le premier étage, ça n’aurait pas eu de sens. Progressant lentement et prudemment donc, elle décida de descendre vers Booker en scrutant chaque recoin pour éviter une nouvelle explosion.
Spoiler:
Indemne après l’explosion de la deuxième charges, Eva n’entend pas grand chose mais prévient tout de même son supérieur de ce qui se passe. Elle regagne ensuite l’escalier de service où elle a déjà fait sauter les charges pour regagner le niveau inférieur et rejoindre Booker. Équipement inchangé.
La fin de toute chose signe le commencement d'une autre
New-York, 29 juillet 2019
« Et nous voici en direct sur le plateau de votre chaîne favorite pour notre édition spéciale. Nous avons le plaisir et l’exclusivité de pouvoir reconstituer, minute par minute, le dernier incident fâcheux ayant pris place sur Isla Nublar. Et pour cela, je vous prie d’accueillir notre reporter favorite, Willa Holland ! »
Ils applaudissent. Ils encouragent. La foule délirante hurle ce nom, scande les mérites d’une journaliste qui n’a plus à faire ses preuves. Le jeune femme entre, non pas vêtue comme on l’aurait certainement attendue, mais avec une simplicité marquante. Saluant la populace de son large sourire, elle vint prendre place dans le fauteuil face à la présentatrice, croisant ses jambes avec élégance, se tenant droite sur le velours molletonné.
« Bonsoir, Willa. »
« Bonsoir, Janet. »
« Avez-vous pu vous reposer depuis votre retour sur le continent ? J’imagine qu’avec ce que vous avez vu et vécu… »
« Tout va pour le mieux, je vous remercie. Je n’étais pas entièrement aux premières loges. »
« Bien… Tant mieux ! Peut être pourriez vous expliquer à nos auditeurs pour quelles raisons vous vous trouviez sur Isla Nublar, en premier temps ? Je rappelle que cette île s’est rendue, à de multiples reprises, célèbre majoritairement en raison du parc d’attraction Jurassic World qui y prend racines. »
« En effet… Tristement célèbre, il faut bien l’admettre… Loin remonte le temps où les Masrani pouvaient prétendre que remonter dans le passé rimait avec sécurité… »
A nouveau, les applaudissements résonnent. S’ils savaient… S’ils savaient comme tout ceci avait été durement travaillé, scénarisé, mis en scène… Une pièce de théâtre relayée sur grand écran.
« J’étais sur Isla Nublar à la demande du récemment nommé directeur du parc, monsieur Eric Green. Celui-ci avait dans l’idée de réaliser une démarche marketing à la réouverture du parc en le promouvant via un documentaire relatant la reconstruction des lieux. Une idée plaisante, sur le papier, à laquelle j’ai eu plaisir à me joindre. »
« Il vous avait choisi spécifiquement ? »
« En effet. J’ai été plus que recommandée et c’est donc tout naturellement que j’ai su me rendre sur place avec mon équipe pour mieux enregistrer tout ceci. »
Les images défilent sur les écrans géants, derrière les deux femmes. Les images de soigneurs en action, de membres de la sécurité en plein transfert d’un spécimen au sein de sa cage. Le public s’exclame, s’ébahit, s’émerveille.
« Tout semblait se dérouler au mieux… Comment peut-on imaginer, lorsque l’on regarde ces images, que les choses aient pu dégénérer à nouveau… ? »
« Eh bien premièrement, et je tiens à vous souligner l’exclusivité de cette information, j’ai pu apprendre qu’une attaque a eu lieu sur cette île en décembre dernier. »
« Mon dieu… Une attaque ? Mais… Qui ? Et… Pourquoi ? »
« Voilà une chose qui était bien sans réponse… Jusqu’à ce sinistre 26 juillet passé. Quant au pourquoi, il semblerait que des informations confidentielles sur la génétique des espèces aient été dérobées, non sans violence. La jeune PDG de l’entreprise elle-même a été sauvagement mutilée après s’être rebellée et les blessés ont alors été transférés à l’hôpital de Liberia. »
« Mais… C’est impensable et incroyable, vraiment. La sécurité n’était-elle pas maximale ? »
« Il semblerait que la Responsable de l’époque, dont je tairais le nom, n’a pas su faire preuve de suffisamment de pragmatisme. Des menaces avaient été reçues et pourtant… D’après les archives, aucune mesure n’a été relevée. »
« Impensable… »
« L’entreprise s’est bien gardée de taire ces informations mais ce fut bien à cette période que Claire Dearing, directrice notable de Jurassic World, a été remerciée. Masrani corp. aurait encouragé sa sortie en invoquant des raisons de santé mentale. »
« Doux Jesus… Mais cela ne nous explique en aucun cas ce nouveau tremblement de terre qu’a subi cette île ! Et je parle au figuratif, non au sens littéral… »
« Les deux sont pourtant possibles… Une enquête interne avait révélé l’inclusion d’un membre du personnel pour faciliter l’accès aux assaillants. Une taupe, si vous préférez. Il aura fallu plusieurs mois d’enquête mais celle-ci aura fini par aboutir. Timothy Banks a été identifié comme tel et une équipe a été dépêchée pour mieux… Se faire justice. »
« Vraiment ? Était-ce là le but ? Abattre froidement un homme sans lui accorder un procès équitable ? »
« J’ignore quel était le but de tout ceci… Mais Banks était un agent entraîné et connaissant le terrain et les tactiques militaires. Autant vous le dire, il était évident que cela finisse en chasse à l’homme. Le personnel extérieur à la sécurité a été invité à se confiner pour sa sécurité… Croyez-moi, j’ai couvert les reportages en Irak, ça ne valait pas mieux que des instants de risque de bombardements… »
« Je n’ose imaginer, Willa… Je n’ose l’imaginer… Mais a-t-il seulement été attrapé ? Je ne crois pas avoir souvenir que son nom figurait parmi les victimes… »
« Parce qu’il s’est échappé. »
« Mais !? Comment ??? »
« Par les airs. Un hélicoptère est venu le récupérer, non identifié. Les suspicions s’orientent évidemment vers le groupuscule qui aurait dérobé les données… »
« Donc, vous voulez dire que non seulement un homme est en cavale… Mais en plus, Jurassic World a tout perdu ? »
« Je ne dirais pas cela, non… Enfin, ils ont, pour le moment, au moins perdu le PDG. Je ne vous apprends rien : Laura Masrani a servi de bouclier humain à ce forcené qui a cru bon de la faire monter jusque dans son hélicoptère. On ignore si elle est en vie ou non. Tout ce que l’on sait, c’est que l’entreprise n’a, à sa tête, plus que Richard Wisner. »
« Han… Pauvre Damian… On sait tous que ces deux là étaient comme les doigts d’une unique main. »
« Vous voulez un autre scoop ? Je crois que sur cette main, vous pouvez ajouter le chef de la sécurité du parc. A peine Laura a-t-elle disparu dans les airs qu’il ne songeait plus qu’à aller la chercher. Il n’a même pas attendu 24h pour poser sa démission. »
« Mais que font-il sur cette île ? C’est à croire qu’ils en aient tous oublier leurs fondamentaux… »
« Oh, mais ils ne vont pas avoir d’autre choix que de s’en rappeler… Banks a provoqué un chaos sans précédent. Plusieurs bâtiments sont détruits ou lourdement abîmés. Et… Evidemment, afin de mieux se frayer un chemin, il a cru bon de libérer un certain nombre d’espèces pourtant déjà rattrapées. »
« C’est pas vrai ! Vous avez un exemple ? »
« Eh bien autant dire que si vous voulez vous retrouver nez-à-nez avec un Tyranosaure, c’est certainement la bonne saison pour vous rendre au Parc. Et comme Eric Green avait été froidement abattu et que Laura Masrani avait disparu, il a été problématique de refermer certains grands enclos. »
« Eh bien, eh bien… Mais a-t-on seulement des réponses sur les employeurs de Banks ? »
« Pas réellement. Les murmures parlent des Russes, d’autres tendent à croire que ce sont les Chinois. Il paraitrait aussi qu’il s’agisse d’une entreprise concurrente qui souhaite faire chanter les hautes instances de Masrani Corp. en rachetant un nombre de parts. Et autant vous dire qu’en l’absence de Laura Masrani, actuelle actionnaire majoritaire, c’est bien difficile pour les Wisner de voir clair dans ce brouillard… »
« Cette histoire est incroyable… Et aura très certainement une suite ! Nous nous retrouverons après la pub pour discuter des différents faits historiques ayant marqué Jurassic World. Restez avec nous ! »
EXPLICATIONS
Dans les faits :
Timothy Banks a fini par ouvrir la communication avec Julian Blake. Des échanges entre eux, il ne faut retenir que les requêtes formulées par Banks et le refus d’obtempérer de Julian Blake. Ce refus aura signé la mort d’Eric Green, Julian pensant à un bluff de son ancien subalterne.
Laura aura été contrainte d’ouvrir plusieurs enclos afin de déclencher le chaos et remobiliser des agents de sécurité sur d’autres fronts. Se sont échappés : le Tyranosaure Rex, 4 Raptors, un dilophosaure ainsi que 2 tricératops et 1 ankylosaure. Les carnivores ont erré quelques temps dans le secteur 3 avant de passer les barrières de sécurité, ouvertes également, en direction du nord.
Julian aura fini par céder aux requêtes de Banks. Déployant ses équipes, gérants les blessés, il n’a pas réalisé une mauvaise gestion de crise, ils ont simplement été débordés.
Un hélicoptère non signalé a fini par entrer dans la zone aérienne de l’île. En vol stationnaire au-dessus de l’innovation center, il aura procédé à l’évacuation de Banks. Pour maintenir leur sécurité et éviter les représailles armées, il aura également entraîné Laura Masrani dans sa fuite. L’hélicoptère aura disparu des radars et nul ne sait où il a atterri. Le corps de Banks, lui, aura été repêché au large des côtes péruviennes. L’information est classée secret défense mais les instances du Jurassic World ont été informée de la chose. Le légiste aura souligné que sa mort est due à une blessure par balle.
Lance et Lorna n’ont pas pu prendre part à l’assaut final. L’agent de sécurité a été lourdement touché lors de l’explosion et il aura fallu attendre la venue du médecin pour libérer Booker de sa barre de métal. Lorna aura été hospitalisée par précaution, en raison de ses derniers soucis de santé.
Eva aura été appelée par Julian pour participer à l’évacuation de la zone. Peu après le départ de l’hélicoptère, les différentes charges explosives ont été actionnées et l’innovation center s’est effondré. Miller a été retrouvé lourdement blessé. Des corps ont été extraits des décombres.
Leanne et Owen auront réussi à échapper aux divers dinosaures relâchés dans le secteur 3. Alertés par les sirènes signalant l’ouverture des enclos, ils ont réussi à récupérer un véhicule pour s’enfuir.
Aucune victime n’est à déplorer dans le secteur 1 et les habitations. Plusieurs membres du personnel ont été blessés légèrement en raison du souffle de l’explosion mais aucun mort n’est à déplorer.
Au total, cette chasse à l’homme s’est soldée par un échec. On déplore 22 morts ou disparus dont Eric Green et Laura Masrani. Julian Blake a posé sa démission et est rentré sur le continent dès le lendemain dans le but de retrouver la jeune femme.
Richard Wisner, en personne, se sera rendu sur l’île deux jours après le drame. La nomination du nouveau directeur est encore en réflexion. Une proposition de rachat de l’entreprise sera déposée sur le bureau de Wisner le 31 juillet, de la part d’un investisseur anonyme.
Le secteur 1 a été verrouillé et est désormais la seule place sûre de l’île. Les membres du personnel ont été invité à évacuer mais ils demeurent libres de rester. Dans l’attente des directives, aucune mission extérieure n’est autorisée.
Avec cet évent se ferme un chapitre de Jurassic World Renaissance. Une autre ère s’annonce, peut-être différente. J’espère que celle-ci saura vous plaire malgré tout. Merci à vous d’avoir été là jusqu’au bout et d’avoir fait part de votre souhait d’avancer. Les choses se débloqueront tout prochainement et j’espère que vous trouverez toujours plaisir à RP sur le forum.
nightgaunt
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