Hatori aime les belles choses, c'est un épicurien dans l'âme. Toute son éducation l'a poussé en ce sens : apprécier l'instant présent et chaque petit bonheur de la vie. Boire un verre de saké en contemplant les lucioles dans le jardin, observer la Lune dans le chant des insectes nocturnes, autant de plaisirs simples que l'homme d'âge mûr n'hésitait pas à entreprendre avant. Avant que le malheur ne s'abatte sur lui. Aujourd'hui, même s'il n'a pas balayé ses préceptes il préfère se plonger dans le travail. mais qui sait, la beauté de l'île et de ses habitants à écailles pourraient le ramener à une existence plus belle et moins morose. Un proverbe japonais dit que le malheur peut-être un pont vers le bonheur. Alors patient, Hatori attend de trouver ce pont. C'est une personne qui relativise beaucoup et qui prend le temps de revenir après coup sur une situation ou un sujet épineux. Méticuleux et passionné par son travail, il prend très à cœur l'efficacité et la justesse de ses interventions. D'un naturel souriant, avenant, il est pourtant timide lorsqu'on lui plait, mais peut-être est-ce là encore le reflet de son éducation japonaise relativement pudique ?
Caractère
Prénom(s) : Hatori Nom : Takahashi Âge : 42 ans Situation familiale : Veuf Orientation sexuelle : Hétéro Métier : Chirurgien Depuis quand vous êtes sur l'île : Arrivée en mars 2019 Groupe : Autres Célébrité : Naohito Fujiki
Que pense votre personnage de Jurassic World et de ses occupants ? Et des anciens accidents ? : Jurassic World, c'est le rêve d'un homme mis à la portée de tous. Evidemment, Hatori n'est pas stupide, il sait que derrière tout l'empire Masrani tourne un sacré business mais il comprend ce que Simon Masrani a tenté de réaliser et il admire cet volonté. D'un point de vue strictement scientifique, en tant que médecin, il est fasciné par la création dinosaures et espère bien qu'on lui fera visiter le laboratoire. Il voit au delà de cette simple genèse, il imagine déjà ce qu la science pourrait tirer de la vie de ces créatures. De nouveaux médicaments peut-être ? Des vaccins ? De nouvelles méthodes de clonage ? Ses propres gènes s'excitent rien qu'à ces idées.
Concernant les incidents, il préfère ne pas jeter la pierre à Masrani Global. D'une part parce que maintenant qu'il travaille pour cette société, il serait mal vu de la critiquer, d'autre part car toujours dans sa façon de voir les choses, parfois, le malheur est nécessaire pour la création d'un bonheur. Espérons que désormais, tout se porte pour le mieux. Au moins le parc disposera d'un chirurgien renommé pour soigner ses blessés.
Fiche d'Information
Histoire
C’était un air venant d’un vieux film que j’avais un jour regardé en vidéo. Cette voix risquait de disparaître si j’effectuais le moindre mouvement. Je l’ai écoutée en retenant mon souffle.
C'est ce que j'ai ressenti, en écoutant Nanami fredonner. Moon river ? C'était ça le titre il me semble. Je suis tombé amoureux de cette fille comme s'il s'agissait d'une évidence, elle était le printemps dans ma vie étudiante compliquée, elle était aussi fascinante que l'éclat de la Lune en plein solstice d'été. Elle était mon rêve avant que le cauchemar ne commence.
J'étais jeune, avide de connaissance et j’entraînais ma dextérité en façonnant des animaux en papier. L'origami m'aidait à progresser, à a insuffler le moindre détail du bout des doigts. Mes parents me trouvaient fantasque, mes professeurs très doué. Nanami disait que j'étais hors-norme. C'est ça qui l'a séduit je crois. Durant nos études respectives, nous nous sommes officiellement mis en ménage. J'attendais d'être docteur pour l'épouser. Ce que j'obtins après 6 années de travail intensif.
Restait encore la spécialisation en chirurgie qui allait me prendre 5 années supplémentaires mais j'étais prêt. Après tout, j'étais fraîchement marié avec la femme de ma vie, celle qui aimait partager une bière ou un verre de sake en contemplant les lucioles, celle qui fredonnait toujours des chansons sorties d'un autre temps. Notre amour était de la poésie à l'état pur, un haiku des temps modernes. Jusqu'à ce jour. Le nez dans mes bouquins, j'avais bondi de mon kotatsu en voyant le numéro de l’hôpital Keiyu. Je l'avais enregistré en prédisant qu'il serait mon futur employeur. Nanami avait ri mais ne s'était pas moqué. La femme à l'autre bout de la ligne m'annonça alors qu'il y avait eu un accident et que j'étais prié de venir au chevet de ma femme, plongé dans un état critique. Le temps que j'arrive là-bas, il était déjà trop tard. Je ne reverrais plus jamais rire la femme que j'aimais et ne rencontrerais jamais l'enfant qu'elle portait. Elle avait dû songer à me faire la surprise de la nouvelle, c'était une sacrée réussite.
Lors des obsèques mes parents me demandèrent si je voulais revenir à la maison. Je refusais poliment et me plongeais dans mes études pour les 4 années qui suivirent. La charge de travail phénoménale de l’hôpital m'aidait. Keiyu avait dû entendre mon appel muet. J'y restais et construisais mon avenir, reconstruisais ma vie dans un vide absolu. Pour autant, je n'étais pas malheureux. Nostalgique oui, mais le bonheur de ses années passées auprès de Nana, éclipsait la peine de l'avoir perdue. Quant à cet enfant...il me semblait compliqué de pleurer la mort d'un embryon. Sur un plan complètement scientifique, je ne me le représentais pas comme l'enfant que nous avions conçu.
Par égard pour elle et la vie qu'elle représentait, je ne pouvais me laisser aller à la déprime. Comme le vieux con que j'étais entrain de devenir, je recommençais petit à petit à profiter des petits bonheurs de la vie, clin d’œil nécessaire à celle qui m'observait de là-haut. Je ne la remplaçais pas, mais me forgeait une vie à la hauteur de ce que la notre aurait dû être.
Et puis, après des années de pratique, j'eu envie de changement. Ma renommée avait franchi les frontières de mon petit archipel, alors pourquoi pas ? Je contactais Medixal Health avec l'espoir d'un poste à New-York. On me proposa quelque chose de différent. J'étais déjà habitué à Godzilla et compagnie, alors des dinosaures sur un plan réel...vous vous doutez bien que j'ai sauté sur l'occasion même si je ne suis pas prêt d'en toucher un ! Mon truc c'est l'humain, pas les sacs à main.
Re-bienvenue avec le doc. Va y avoir du boulot mon petit !
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This is my LegacySo, are you gonna die today, or make it out alive ? You gonna conquer the monsters in your head and then you'll fly. Fly, Phoenix, fly.
Toute l'équipe de Jurassic World Renaissance est heureuse de te voir enfin des nôtres et nous espérons que tu te plairas avec nous. Te voilà désormais officiellement membre de notre forum qui est désormais le tien mais nous voulons te rappeler quelques petits détails avant que tu ne commences à jouer.
Pour commencer, je t'invite à aller rédiger ton journal de bord dans lequel tu pourras répertorier tes RPs et tes liens établis en RP avec les autres joueurs.
Si tu as une quelconque question, le staff est là pour y répondre alors n'aie pas peur et rends-toi dans la partie QUESTIONS pour demander des infos.
Au vu de ce que nous avons pu voir dans ta fiche, ton personnage a un nombre de points de compétences de départ de 9 points . Ils te seront utiles pendant les combats contre les dinosaures.